Question d'origine :
Bonjour,
je suis fasciné par le tigre (ou la tigresse) du zoo du Parc de la tête d'or.
J'aimerais connaître son prénom, son âge, et surtout où il (ou elle) est actuellement (on ne la voit plus depuis un certain temps).
Merci
Guillaume
Réponse du Guichet
bml_reg
- Département : Documentation régionale
Le 20/02/2015 à 15h17
Bonjour,
Nous sommes au regret de vous informer du décès du tigre du zoo du parc de la Tête d’Or survenu le 3 décembre 2013. Il se nommait Athos, et avait atteint l’âge remarquable pour un animal de son espèce, de 18 ans et 7 mois. Depuis effectivement son enclos était resté vide.
A ce sujet le zoo de Lyon a souhaité nous apporter les précisions suivantes :
« Les connaissances du zoo de Lyon et sa politique en matière de bien être animal lui interdisait d’accueillir dans cet espace petit malgré tout, de nouveaux tigres ».
Puis, et c’est aussi un élément à faire savoir, « le plan de collection du zoo de Lyon s’oriente aujourd’hui vers l’accueil et la reproduction d’espèce menacée dans leur milieu naturel et peu rencontrées en parcs zoologiques ».
Pour en savoir plus sur les missions du zoo du parc de la Tête d’Or, et sur la nouvelle éthique des parcs zoologiques : Des zoos pour quoi faire ? : pour une nouvelle philosophie de la conservation
La bonne nouvelle ; vous aurez très prochainement le plaisir de découvrir une toute nouvelle espèce. Le
« Aussi appelé “chat-ours”, le nom de “Binturong” vient d’une langue locale aujourd’hui éteinte.
Ce sont des animaux nocturnes qui passent leurs journées à dormir, perchés sur une branche.
Arboricoles, ils possèdent des griffes puissantes et une queue préhensile qu’ils utilisent comme un 5ème membre pour évoluer dans les arbres.
Ils marquent leur territoire à l’aide de glandes situées sous la queue, en frottant celle-ci contre les bois.
Le binturong a la particularité de se laisser apprivoiser relativement facilement par l'homme. Il semble par ailleurs que cette faculté soit à l'origine de la prolifération de l'espèce en captivité.
Bien que peu en danger, la population naturelle a réduit de manière non négligeable ces dernières années du fait de la déforestation.
Aujourd’hui, ils sont protégés par la Convention de Washington, régulant le commerce international d’animaux». Source: Espace zoologique St Martin la Plaine.
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