Question d'origine :
Bonsoir,
dans ma famille nous avons une interrogation lancinante depuis des années, et espérons donc que vous pourrez nous délivrer de ce tourment:
qu'est ce qu'on se pète quand on se la pète ???
D'avance merci beaucoup de nous tous!
Réponse du Guichet
gds_se
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 29/08/2014 à 08h53
Bonjour,
Le Petit dictionnaire du français familier nous explique, en complément des expressions sur l’orgueil, que les jeunes emploient usuellement la formule se la péter : « Oh lui, il se la pète ! », il crâne, il est fier. Il est possible que ce soit la cheville qui enfle au point de craquer, ou la tête qui est trop grosse ! …
Une autre explication serait que « se la péter » découlerait d’une expression d'origine québécoise, dans sa forme complète "se péter les bretelles". En effet, au XIXe, l'habit masculin se composait d'un pantalon, d'une chemise et de bretelles. Il était courant, à l'époque, de tendre ses bretelles avec ses pouces avant de les faire claquer contre sa poitrine lorsque l'on était fier.
(Source : Se la péter / L’Internaute)
Difficile de croire que nos cousins français n’utilisent pas cette amusante expression, pourtant fort connue au Québec. Se péter les bretelles a deux significations. D’abord, elle veut dire : être fier de soi. «Il se pète les bretelles depuis qu’il a obtenu sa promotion.» Cette expression peut aussi vouloir dire se vanter. «Il n’arrête pas de se péter les bretelles depuis qu’il a passé à la télévision.»
(Source : Se péter les bretelles / Traduction du français au français : à la découverte de la langue québécoise)
Bonne journée
Le Petit dictionnaire du français familier nous explique, en complément des expressions sur l’orgueil, que les jeunes emploient usuellement la formule se la péter : « Oh lui, il se la pète ! », il crâne, il est fier. Il est possible que ce soit la cheville qui enfle au point de craquer, ou la tête qui est trop grosse ! …
Une autre explication serait que « se la péter » découlerait d’une expression d'origine québécoise, dans sa forme complète "se péter les bretelles". En effet, au XIXe, l'habit masculin se composait d'un pantalon, d'une chemise et de bretelles. Il était courant, à l'époque, de tendre ses bretelles avec ses pouces avant de les faire claquer contre sa poitrine lorsque l'on était fier.
(Source : Se la péter / L’Internaute)
Difficile de croire que nos cousins français n’utilisent pas cette amusante expression, pourtant fort connue au Québec. Se péter les bretelles a deux significations. D’abord, elle veut dire : être fier de soi. «Il se pète les bretelles depuis qu’il a obtenu sa promotion.» Cette expression peut aussi vouloir dire se vanter. «Il n’arrête pas de se péter les bretelles depuis qu’il a passé à la télévision.»
(Source : Se péter les bretelles / Traduction du français au français : à la découverte de la langue québécoise)
Bonne journée
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