Question d'origine :
je cherche le nom de l'éventail qu'on trouvait jadis dans des pays comme l'inde et qu'on peut voir sur certains tableaux.
Il est constitué d'un grand rectangle de tissus rigidifié par une barre de bois en haut et en bas , celle du haut est fixée au plafond et deux domestique font balancer ce tissus à l'aide de cordes fixées de chaque coté au montant du bas, le pacha faisant sa sieste en dessous.
J'ai su le nom de ce systéme de ventilation mais je ne parviens pas à le retrouver, merci d'avance à toute personne qui pourra m'aider à combler cette lacune.
Joelle
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 19/11/2011 à 13h41
Bonjour,
Le terme que vous cherchez est lePunka ou Panka , grand éventail des pays chauds constitué par un écran de toile mobile suspendu au plafond par une extrémité et manoeuvré au moyen d'une poulie et de cordes. Le vent (...) souffle par intermittences le matin et le soir, mais toujours très-faible, et comme pour entretenir seulement dans les palmes un doux balancement pareil à celui du panka indien (Fromentin, Été Sahara, 1857, p.182)....
Source : Centre national de ressources textuelles et lexicales;
Cet éventail est décrit dans de nombreux textes du XIXe siècle et du début du XXe siècle dont Le Jardin des supplices d’Octave Mirabeau :
la chaleur était si écrasante, l’air si lourd à nos poumons d’Européens, que, bien des fois, je pensai mourir asphyxié. Dans la journée, nous ne quittions guère le salon, où le grand punka indien, fonctionnant sans cesse, nous donnait l’illusion, vite perdue, d’une brise plus fraîche..
Le terme que vous cherchez est le
Source : Centre national de ressources textuelles et lexicales;
Cet éventail est décrit dans de nombreux textes du XIXe siècle et du début du XXe siècle dont Le Jardin des supplices d’Octave Mirabeau :
la chaleur était si écrasante, l’air si lourd à nos poumons d’Européens, que, bien des fois, je pensai mourir asphyxié. Dans la journée, nous ne quittions guère le salon, où le grand punka indien, fonctionnant sans cesse, nous donnait l’illusion, vite perdue, d’une brise plus fraîche..
DANS NOS COLLECTIONS :
Commentaires 0
Connectez-vous pour pouvoir commenter.
Se connecter