Question d'origine :
Bonjour !
Ma question est un peu particulière car ces infos ne sont pas cataloguées : je voudrais savoir si la dernière campagne de publicité pour l'armée de l'air (les affiches que l'on voit sur les abribus cf ici : Devenir Aviateur ) a été également déclinée en pleine page dans la presse, et si oui, pouvez-vous m'indiquer la référence d'un magazine ou journal disponible en consultation à la médiathèque pour que je regarde de plus près ?
En vous remerciant d'avance,
m.t.
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 03/07/2019 à 09h37
Bonjour,
Ces affiches ne nous semblent pas avoir été tirées en pleine page et ce même si l’ensemble de la campagne a été amplement relayé dans la presse.
Ainsi, dans l’article » Havas Paris pour l’Armée de l’air - "Aviateurs, histoires vraies" strategies.fr reproduit un panneau publicitaire sur lequel se trouve une affiche Aviateurs. Histoires vraies » et mentionne que « Pour renouveler ses effectifs, l’Armée de l’air a choisi de s’adresser directement à la génération Z en utilisant ses codes et ses usages spécifiques. Elle a ainsi déployé une campagne multicanale centrée autour de la websérie documentaire « Aviateurs, histoires vraies », d’une BD animée digitale et d’un site immersif. Ces différents supports présentent les différentes carrières proposées par l’Armée de l’air dans le but d’attirer les jeunes vers les centres de recrutement. Des partenariats ont aussi été conclus avec des médias affinitaires comme Konbini. Sur les réseaux sociaux, une alliance de paid et d’owned a permis à la campagne d’avoir une belle résonance. Démarrée au deuxième semestre de 2017, elle a permis d’assurer 100 % des objectifs de recrutements annuels !
Dès le 4 décembre 2017, Le Parisien Économie (« L'Armée de l'air crée sa BD pour recruter », Virginie De Kerautem)relayait cette action
« D'ici 2020, l'Armée de l'air doit recruter plus de 3 000 personnes par an, des jeunes essentiellement, de 17 à 25 ans, voire 30 (…) C'est l'agence Havas qui, à la suite d'un appel d'offres, a le plus convaincu l'Armée de l'air en respectant notamment les principaux critères recherchés. « Notre intention initiale, raconte le militaire, était de se démarquer de l'Armée de terre et la Marine, grands recruteurs également, d'avoir une campagne innovante sans être trop décalée par rapport à l'institution qu'on représente et suffisamment variée pour durer trois ans ».
« On a croisé Thierry, officier mécanicien », poursuit Eric Huc, directeur de la création chez Havas. L'histoire de cet homme, chargé de récupérer en Afghanistan un avion, un Mirage 2000D, tombé en pleine zone ennemie, inspire l'agence. Partie sur l'idée de raconter des histoires vraies de membres de l'Armée de l'air, façon documentaire, celle-ci décide de compléter ses portraits en mettant en scène l'histoire de Thierry dans une bande dessinée digitale, adaptée à la lecture sur ordinateur et mobile.
Des Tournages avec de vrais militaires, pas des acteurs
« Comme des éditeurs, on a fait appel à deux auteurs primés cette année au Festival de la BD d'Angoulême, Vincent Milhaguet et Camille Prieur. En deux mois, ils ont rendu leur copie, dans la veine des BD d'aventures, mise en ligne sur une plate-forme créée pour cette campagne au long cours ( http://www.devenir- aviateur.fr).
« On veut s'adapter aux codes des jeunes », insiste le colonel Chêne, qui ne rejette pas l'idée d'un clip musical début 2018. Résultat, la campagne, présente ponctuellement depuis juin à la télévision et sur des affiches, s'est massivement immiscée sur les réseaux sociaux : Snapchat, Instagram, Facebook, YouTube. À la BD s'ajoutent 6 portraits dont celui de Yacine, agent d'opérations, Justine, pompier de l'air ou Nicolas, mécanicien navigant, qui racontent un moment particulier de leur métier. « Celui-ci s'effectue dans un environnement extraordinaire », insiste Hervé Chêne. Pour le refléter au mieux, Eric Huc et son équipe ont sélectionné les aviateurs et les ont filmés sur leur zone de travail. Les tournages, réalisés ainsi avec de vrais militaires et non des acteurs, se sont déroulés sur la vingtaine de bases aériennes françaises dont Mont-de-Marsan (Landes), Istres (Bouches-du-Rhône), et en Guyane… ».
Aujourd'hui en France le 23 octobre 2018 présente l’ensemble de la campagne :
« La série sonore « Écho » s'inscrit dans la campagne de recrutement « Aviateurs, Histoires vraies », lancée depuis plus de deux ans par l'Armée de l'air à destination des jeunes. S'appuyant sur des portraits d'aviateurs, elle a multiplié les formats : photo-reportages, web documentaires et vidéos, jusqu'à lancer l'an dernier sa propre BD digitale mélangeant plans fixes et plans animés.Cette année, l'Armée a décidé de franchir un pas supplémentaire en créant trois bandes sonores, surfant sur l'engouement de sa cible pour ce format. « Lancé au début des années 2000, le podcast répond parfaitement à la saturation des images et du son … »
Le Parisien revient sur « L’Armée de l’air mise sur le podcast pour recruter 3400 jeunes ».
Ceci étant dit, si tous les canaux ont été privilégiés, assurant le succès de cette campagne, nous ne savons pas si les affiches ont été présentées en pleine page dans la presse et pour nous en assurer nous avons posé la question à Havas.
Ces affiches ne nous semblent pas avoir été tirées en pleine page et ce même si l’ensemble de la campagne a été amplement relayé dans la presse.
Ainsi, dans l’article » Havas Paris pour l’Armée de l’air - "Aviateurs, histoires vraies" strategies.fr reproduit un panneau publicitaire sur lequel se trouve une affiche Aviateurs. Histoires vraies » et mentionne que « Pour renouveler ses effectifs, l’Armée de l’air a choisi de s’adresser directement à la génération Z en utilisant ses codes et ses usages spécifiques. Elle a ainsi déployé une campagne multicanale centrée autour de la websérie documentaire « Aviateurs, histoires vraies », d’une BD animée digitale et d’un site immersif. Ces différents supports présentent les différentes carrières proposées par l’Armée de l’air dans le but d’attirer les jeunes vers les centres de recrutement. Des partenariats ont aussi été conclus avec des médias affinitaires comme Konbini. Sur les réseaux sociaux, une alliance de paid et d’owned a permis à la campagne d’avoir une belle résonance. Démarrée au deuxième semestre de 2017, elle a permis d’assurer 100 % des objectifs de recrutements annuels !
Dès le 4 décembre 2017, Le Parisien Économie (« L'Armée de l'air crée sa BD pour recruter », Virginie De Kerautem)relayait cette action
« D'ici 2020, l'Armée de l'air doit recruter plus de 3 000 personnes par an, des jeunes essentiellement, de 17 à 25 ans, voire 30 (…) C'est l'agence Havas qui, à la suite d'un appel d'offres, a le plus convaincu l'Armée de l'air en respectant notamment les principaux critères recherchés. « Notre intention initiale, raconte le militaire, était de se démarquer de l'Armée de terre et la Marine, grands recruteurs également, d'avoir une campagne innovante sans être trop décalée par rapport à l'institution qu'on représente et suffisamment variée pour durer trois ans ».
« On a croisé Thierry, officier mécanicien », poursuit Eric Huc, directeur de la création chez Havas. L'histoire de cet homme, chargé de récupérer en Afghanistan un avion, un Mirage 2000D, tombé en pleine zone ennemie, inspire l'agence. Partie sur l'idée de raconter des histoires vraies de membres de l'Armée de l'air, façon documentaire, celle-ci décide de compléter ses portraits en mettant en scène l'histoire de Thierry dans une bande dessinée digitale, adaptée à la lecture sur ordinateur et mobile.
Des Tournages avec de vrais militaires, pas des acteurs
« Comme des éditeurs, on a fait appel à deux auteurs primés cette année au Festival de la BD d'Angoulême, Vincent Milhaguet et Camille Prieur. En deux mois, ils ont rendu leur copie, dans la veine des BD d'aventures, mise en ligne sur une plate-forme créée pour cette campagne au long cours ( http://www.devenir- aviateur.fr).
« On veut s'adapter aux codes des jeunes », insiste le colonel Chêne, qui ne rejette pas l'idée d'un clip musical début 2018. Résultat, la campagne, présente ponctuellement depuis juin à la télévision et sur des affiches, s'est massivement immiscée sur les réseaux sociaux : Snapchat, Instagram, Facebook, YouTube. À la BD s'ajoutent 6 portraits dont celui de Yacine, agent d'opérations, Justine, pompier de l'air ou Nicolas, mécanicien navigant, qui racontent un moment particulier de leur métier. « Celui-ci s'effectue dans un environnement extraordinaire », insiste Hervé Chêne. Pour le refléter au mieux, Eric Huc et son équipe ont sélectionné les aviateurs et les ont filmés sur leur zone de travail. Les tournages, réalisés ainsi avec de vrais militaires et non des acteurs, se sont déroulés sur la vingtaine de bases aériennes françaises dont Mont-de-Marsan (Landes), Istres (Bouches-du-Rhône), et en Guyane… ».
Aujourd'hui en France le 23 octobre 2018 présente l’ensemble de la campagne :
« La série sonore « Écho » s'inscrit dans la campagne de recrutement « Aviateurs, Histoires vraies », lancée depuis plus de deux ans par l'Armée de l'air à destination des jeunes. S'appuyant sur des portraits d'aviateurs, elle a multiplié les formats : photo-reportages, web documentaires et vidéos, jusqu'à lancer l'an dernier sa propre BD digitale mélangeant plans fixes et plans animés.Cette année, l'Armée a décidé de franchir un pas supplémentaire en créant trois bandes sonores, surfant sur l'engouement de sa cible pour ce format. « Lancé au début des années 2000, le podcast répond parfaitement à la saturation des images et du son … »
Le Parisien revient sur « L’Armée de l’air mise sur le podcast pour recruter 3400 jeunes ».
Ceci étant dit, si tous les canaux ont été privilégiés, assurant le succès de cette campagne, nous ne savons pas si les affiches ont été présentées en pleine page dans la presse et pour nous en assurer nous avons posé la question à Havas.
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 04/07/2019 à 10h21
Bonjour,
La responsable de la communication de l'agence Havas, que nous tenons à remercier, confirme ce que nous avions indiqué précédemment :
"Suite à votre demande d’informations relative à la campagne armée de l’air je vous confirme qu’il n’y avait pas de presse dans le plan media, uniquement TV + OOH + DOOH + digital + social".
La responsable de la communication de l'agence Havas, que nous tenons à remercier, confirme ce que nous avions indiqué précédemment :
"Suite à votre demande d’informations relative à la campagne armée de l’air je vous confirme qu’il n’y avait pas de presse dans le plan media, uniquement TV + OOH + DOOH + digital + social".
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