Question d'origine :
où trouver un texte écrit du conte:
les clous dans la planche ou dans la porte
le fils du roi est si malfaisant que son père lui demande de planter un clou chaque fois qu'il fera une mauvaise action
puis il pourra les enlever à chaque bonne action et ...
Réponse du Guichet
gds_ctp
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 16/05/2019 à 08h54
Bonjour,
Assez curieusement, nous n’avons trouvé trace d’un tel texte ni sur notre catalogue, ni sur les bases de données consacrées au conte ou à la littérature jeunesse telles que le site du Centre méditerranéen de littérature orale (CMLO), Contes et merveilles, La joie par les livres, ou encore Ricochet…
En revanche, une version du conte est très fréquemment reprise sur internet, plutôt orientés spiritualité/bien-être, ou même religion. A titre d’exemple, une personne utilisant le forum de psychologies.com le décrit comme « conte bouddhiste » pour une raison que nous ignorons. Si l’histoire est semblable à vos souvenirs, il n’est pas question de roi et de prince, mais seulement d’un père et de son fils :
« C’est l’histoire d’un petit garçon qui avait mauvais caractère.
Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu’à chaque fois qu’il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture. Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture.
Les semaines qui suivirent, à mesure qu’il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture... Il découvrit qu’il était plus facile de contrôler son humeur que d’aller planter des clous derrière la clôture...
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur.
Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu’il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture. Son père le prit par la main et l’amena à la clôture.
Il lui dit : "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci.
Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours.
Une offense verbale est aussi néfaste qu’une offense physique.
Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur COEUR. »
Aucun site, blog ou forum ne cite de nom d’auteur – mais n’est-ce pas une caractéristique de la diffusion des genres oraux ?
Bonne journée.
Assez curieusement, nous n’avons trouvé trace d’un tel texte ni sur notre catalogue, ni sur les bases de données consacrées au conte ou à la littérature jeunesse telles que le site du Centre méditerranéen de littérature orale (CMLO), Contes et merveilles, La joie par les livres, ou encore Ricochet…
En revanche, une version du conte est très fréquemment reprise sur internet, plutôt orientés spiritualité/bien-être, ou même religion. A titre d’exemple, une personne utilisant le forum de psychologies.com le décrit comme « conte bouddhiste » pour une raison que nous ignorons. Si l’histoire est semblable à vos souvenirs, il n’est pas question de roi et de prince, mais seulement d’un père et de son fils :
« C’est l’histoire d’un petit garçon qui avait mauvais caractère.
Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu’à chaque fois qu’il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture. Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture.
Les semaines qui suivirent, à mesure qu’il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture... Il découvrit qu’il était plus facile de contrôler son humeur que d’aller planter des clous derrière la clôture...
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur.
Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu’il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture. Son père le prit par la main et l’amena à la clôture.
Il lui dit : "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci.
Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours.
Une offense verbale est aussi néfaste qu’une offense physique.
Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur COEUR. »
Aucun site, blog ou forum ne cite de nom d’auteur – mais n’est-ce pas une caractéristique de la diffusion des genres oraux ?
Bonne journée.
DANS NOS COLLECTIONS :
Ça pourrait vous intéresser :
Commentaires 0
Connectez-vous pour pouvoir commenter.
Se connecter