Nom de famille écrit, Brié, Briée, Brayé, Brayer, Breillé.
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 23/04/2019 à 15h19
337 vues
Question d'origine :
Comment savoir le quel, est le bon nom pour faire ses recherches, Années entre 1685 et 1739. En France
Réponse du Guichet
gds_ctp
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 25/04/2019 à 11h23
Bonjour,
D’après une réponse précédemment donnée ici, « Lorsqu’un nom est rare et absent de ces ouvrages [les dictionnaires de noms], il est conseillé, avant de tenter d’en deviner le sens, d’entreprendre d’abord des recherches généalogiques , afin d’être sûr de la forme ancienne du nom (l’orthographe des patronymes ne s’est fixée que vers 1870 ). ».
Si le nom que vous cherchez est celui d’un de vos ancêtres, nous ne pouvons donc vous conseiller mieux… que de remonter votre arbre, étape par étape. Pour vous aider parmi les fantaisie des copistes, geneoweb.org donne quelques cas de variations orthographiques fréquentes :
« Vous vous rendrez compte que des lettres ajoutées ou retirées ont une incidence sur vos recherches, sans occulter la graphie selon la phonétique et que le « parler régional » joue un grand rôle dans la transformation possible du nom.
Il vous faudra donc repérer ces variantes sans pour autant au début de vos recherches croire que ce sont tous vos ascendants. Avec minutie vous lirez les actes en repérant maisons, parents, parrains et marraines et petit à petit « l’histoire de votre patronyme » vous sera révélée.
Attention aussi aux homonymes ! C’est l’acte de mariage, par le croisement du nom du conjoint et des noms des parents qui vous donnera la direction à suivre.
[…]
Il faudra toujours élargir vos recherches en cherchant les variantes possibles.
Quelques exemples :
disparition d’un ou plusieurs sons à la fin d’un nom : Guillaume peut se transformer en Guille
disparition d’un ou plusieurs sons au début du nom : Bernardin peut se transformer en Nardin
réunion en un seul nom de deux ou plusieurs termes :
Dupont = Du Pont ; Grosjean = Gros Jean ;
l’agglutination (ou pas) de l’article « le » est très fréquent associé en général à un nom de métier ou à une caractéristique physique :
Lebrun = Le Brun ; Lecharpentier = Le Charpentier etc Roux, Brun
l’agglutination (ou pas) de l’article « la » associé aux noms de lieux :
Labarthe, Lacaze
ou, l’inverse, c’est à dire la disparition de la première lettre par mauvaise compréhension
toutes les graphies où il peut y avoir confusion entre deux lettres très proches par leur sonorité : b et p, b et d, p et t, b et v, etc.
également la suppression d’un son, la modification, ou l’inversion : Bru = Bour ; Bru =Bur
certaines lettres comme le « l, m, n, r » sont remplacées l’une par l’autre…
t, qui disparaît comme dans etche et devient eche,
les y et les h qui apparaissent par ci-par là,
les s qui deviennent c voire z ou encore ç…,
sans parler des terminaisons : y, i, ie, ies, ye,
et de celles induites par la prononciation comme g et j, la liste est longue.
Le u et le v se traçant de la même manière, on ajoutait parfois un tréma sur le u (ü) pour les différencier. »
Si vous n’êtes pas généalogiste aguerri, nous vous laissons prendre connaissance de l’article généalogie sur les pas de nos ancêtres, publié sur le magazine en ligne de la Bibliothèque municipale de Lyon L’Influx. Il vous donnera de premiers repères.
Sachez qu’il existe de nombreux sites et forums de généalogistes qui pourront vous être utiles. Par exemple, geneanet.org propose des recherches d’arbres généalogiques en ligne. Il est possible d’entrer plusieurs variantes orthographiques d’un même nom, en insérant « alias » entre les termes, comme expliqué sur le forum du même site.
Vous pouvez également consulter les ouvrages Dictionnaire des noms de famille et des prénoms / [Livre] / Philippe Lagneau et Jean Arbuleau et Tous les noms de famille de France et leur localisation en 1900 [Livre] / Laurent Fordant ; préf. de Jean-Louis Beaucarnot.
Bonne recherche.
D’après une réponse précédemment donnée ici, « Lorsqu’un nom est rare et absent de ces ouvrages [les dictionnaires de noms], il est conseillé, avant de tenter d’en deviner le sens, d’
Si le nom que vous cherchez est celui d’un de vos ancêtres, nous ne pouvons donc vous conseiller mieux… que de remonter votre arbre, étape par étape. Pour vous aider parmi les fantaisie des copistes, geneoweb.org donne quelques cas de variations orthographiques fréquentes :
« Vous vous rendrez compte que des lettres ajoutées ou retirées ont une incidence sur vos recherches, sans occulter la graphie selon la phonétique et que le « parler régional » joue un grand rôle dans la transformation possible du nom.
Il vous faudra donc repérer ces variantes sans pour autant au début de vos recherches croire que ce sont tous vos ascendants. Avec minutie vous lirez les actes en repérant maisons, parents, parrains et marraines et petit à petit « l’histoire de votre patronyme » vous sera révélée.
Attention aussi aux homonymes ! C’est l’acte de mariage, par le croisement du nom du conjoint et des noms des parents qui vous donnera la direction à suivre.
[…]
Il faudra toujours élargir vos recherches en cherchant les variantes possibles.
Quelques exemples :
disparition d’un ou plusieurs sons à la fin d’un nom : Guillaume peut se transformer en Guille
disparition d’un ou plusieurs sons au début du nom : Bernardin peut se transformer en Nardin
réunion en un seul nom de deux ou plusieurs termes :
Dupont = Du Pont ; Grosjean = Gros Jean ;
l’agglutination (ou pas) de l’article « le » est très fréquent associé en général à un nom de métier ou à une caractéristique physique :
Lebrun = Le Brun ; Lecharpentier = Le Charpentier etc Roux, Brun
l’agglutination (ou pas) de l’article « la » associé aux noms de lieux :
Labarthe, Lacaze
ou, l’inverse, c’est à dire la disparition de la première lettre par mauvaise compréhension
toutes les graphies où il peut y avoir confusion entre deux lettres très proches par leur sonorité : b et p, b et d, p et t, b et v, etc.
également la suppression d’un son, la modification, ou l’inversion : Bru = Bour ; Bru =Bur
certaines lettres comme le « l, m, n, r » sont remplacées l’une par l’autre…
t, qui disparaît comme dans etche et devient eche,
les y et les h qui apparaissent par ci-par là,
les s qui deviennent c voire z ou encore ç…,
sans parler des terminaisons : y, i, ie, ies, ye,
et de celles induites par la prononciation comme g et j, la liste est longue.
Le u et le v se traçant de la même manière, on ajoutait parfois un tréma sur le u (ü) pour les différencier. »
Si vous n’êtes pas généalogiste aguerri, nous vous laissons prendre connaissance de l’article généalogie sur les pas de nos ancêtres, publié sur le magazine en ligne de la Bibliothèque municipale de Lyon L’Influx. Il vous donnera de premiers repères.
Sachez qu’il existe de nombreux sites et forums de généalogistes qui pourront vous être utiles. Par exemple, geneanet.org propose des recherches d’arbres généalogiques en ligne. Il est possible d’entrer plusieurs variantes orthographiques d’un même nom, en insérant « alias » entre les termes, comme expliqué sur le forum du même site.
Vous pouvez également consulter les ouvrages Dictionnaire des noms de famille et des prénoms / [Livre] / Philippe Lagneau et Jean Arbuleau et Tous les noms de famille de France et leur localisation en 1900 [Livre] / Laurent Fordant ; préf. de Jean-Louis Beaucarnot.
Bonne recherche.
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