Question d'origine :
Bonjour, dans le cadre de ma formation je dois faire une liste Bibliographique sur le thème du cinéma sud Coréen. Auriez des références (tous supports confondus) pour un public adolescents, adultes ? Merci d'avance
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 17/12/2018 à 15h17
Bonjour,
En effectuant des recherches sur différents catalogues – dont celui de la Bibliothèque municipale de Lyon - , nous trouvons de premières références :
• Cinémas d'Asie, d'hier et d'aujourd'hui: Chine, Hong Kong, Taïwan, Japon, Corée du Sud / Frédéric Monvoisin ; sous la direction de Michel Marie, 2015 : « Présentation synthétique du cinéma asiatique, depuis son émergence en Chine à la fin du XIXe siècle à la diversification des cinémas nationaux après la Seconde Guerre mondiale, avec une analyse spécifique de chaque pays dans son contexte historique et géopolitique ».
• Cinémas d'Asie orientale / dirigé par Antoine Coppola, 2008 : « Au sommaire notamment : Cinéma et histoire dans Peppermint Candy de Lee Chang-dong (A. Coppola) ; Images de la femme nord-coréenne dans les films sud-coréens (K. Kyung-hyun) ; Akira Kurosawa, le samouraï humaniste (R. Schneider) ; La fuite éblouie (C. Beney) ; Foyer, nostalgie et mémoire : le remède à la crise identitaire dans le cinéma thaïlandais (A. Chaiworaporn ».
• Séoul cinéma : les origines du nouveau cinéma coréen
Adrien Gombeaud, « Présentation du nouveau cinéma sud-coréen depuis le début des années 1990. Le leitmotiv qui ressort de la filmographie coréenne au cours de cette période est l'omniprésence de la violence et des excès de toute sorte. Cet esthétique cinématographique est la conséquence du décollage économique du pays et surtout du retour à la liberté d'expression après plus de 40 ans de dictature militaire ».
• Les renaissances du cinéma coréen [D.V.D.]/ réal. de Hubert Niogret, 2006 : Né sous l'occupation japonaise, le cinéma coréen a dû faire face à trente ans de dictature militaire. Depuis les années 80, il connaît une véritable renaissance. Il rivalise aujourd'hui avec le cinéma américain et surprend par son dynamisme, sa créativité et sa sophistication.
• Une lecture du film d'Im Kwon-Taek : Le chant de la fidèle Chunhyang / Lee Soojin, 2005 : « version remaniée d'une thèse soutenue en 2003 proposant une lecture sémiotique du film (2000) du réalisateur coréen Im Kwon-Taek. Analyse la structure narrative de cette œuvre inspirée d'un récit traditionnel coréen, la complémentarité du récit filmique et des séquences de représentation d'un spectacle de pansori, ainsi que les éléments significatifs du contexte culturel coréen ».
• Cinéma et spiritualité de l'Orient extrême : Japon et Corée / Roland Schneider, 2003 : « Etudie l'influence des traditions et de la spiritualité dans le cinéma japonais et coréen, à partir de l'étude de films de Mizoguchi, Ozu, Oshima, Kurosawa et Yong Kyun Bae. Il apparaît que les caractéristiques communes à ces films et au cinéma japonais et coréen de manière générale (thèmes, personnages, poésie, décors, contemplation) proviennent de traditions spirituelles ancestrales ».
• Le cinéma sud-coréen, du confucianisme à l'avant-garde : splendeurs et misères du réalisme dans le nouvel ordre spectaculaire / Antoine Coppola, 1997 : « Le cinéma sud-coréen a toujours été le lieu d'une confrontation entre pouvoirs politiques et expérimentation créative. Le passage à un régime officiellement démocratique en 1987 a entraîné une atténuation de la censure, l'ouverture totale des écrans aux films américains et l'apparition de nouvelles esthétiques cinématographiques ».
• Cinéma coréen / sous la direction de A. Apra, 1993 : « Une introduction au cinéma de la Corée du Sud, à travers quelques-uns de ses thèmes majeurs : du rôle de la femme à celui de la religion, des genres canoniques à l'influence de l'histoire. 80 fiches de films et une trentaine de biofilmographies de metteurs en scène complètent le volume ».
Vous trouverez bien d’autres références en interrogeant le catalogue universitaire Sudoc ou en effectuant des recherches sur google livres.
Pour les articles, nous vous conseillons la base de données cairn qui vous permettra de trouver des études comme :
• Gras Pierre, « Vitalité du cinéma coréen », Commentaire, 2008/4 (Numéro 124), p. 1151-1158.
• Coppola Antoine, « Représentations subversives des altersexualités dans le cinéma coréen », Sociétés, 2015/3 (n° 129), p. 125-134.
• Coppola Antoine, « Stéréotypes des femmes dans les films sud-coréens et nord-coréens », Sociétés, 2012/1 (n°115), p. 41-50.
N’oubliez pas de rechercher du côté des travaux universitaires et notamment sur theses.fr. Vous verrez que de nombreux travaux ont été consacrés au cinéma coréen.
Si vous recherchiez des films ou des informations sur certains films nous vous conseillons de réaliser des recherches sur le site de la Cinémathèque, d’interroger le Catalogue collectif des bibliothèques et archives de cinéma ou le CNC, service des archives du film.
Vous voici armé-e pour poursuivre les recherches et ainsi établir une bibliographie sur cette thématique.
En effectuant des recherches sur différents catalogues – dont celui de la Bibliothèque municipale de Lyon - , nous trouvons de premières références :
• Cinémas d'Asie, d'hier et d'aujourd'hui: Chine, Hong Kong, Taïwan, Japon, Corée du Sud / Frédéric Monvoisin ; sous la direction de Michel Marie, 2015 : « Présentation synthétique du cinéma asiatique, depuis son émergence en Chine à la fin du XIXe siècle à la diversification des cinémas nationaux après la Seconde Guerre mondiale, avec une analyse spécifique de chaque pays dans son contexte historique et géopolitique ».
• Cinémas d'Asie orientale / dirigé par Antoine Coppola, 2008 : « Au sommaire notamment : Cinéma et histoire dans Peppermint Candy de Lee Chang-dong (A. Coppola) ; Images de la femme nord-coréenne dans les films sud-coréens (K. Kyung-hyun) ; Akira Kurosawa, le samouraï humaniste (R. Schneider) ; La fuite éblouie (C. Beney) ; Foyer, nostalgie et mémoire : le remède à la crise identitaire dans le cinéma thaïlandais (A. Chaiworaporn ».
• Séoul cinéma : les origines du nouveau cinéma coréen
Adrien Gombeaud, « Présentation du nouveau cinéma sud-coréen depuis le début des années 1990. Le leitmotiv qui ressort de la filmographie coréenne au cours de cette période est l'omniprésence de la violence et des excès de toute sorte. Cet esthétique cinématographique est la conséquence du décollage économique du pays et surtout du retour à la liberté d'expression après plus de 40 ans de dictature militaire ».
• Les renaissances du cinéma coréen [D.V.D.]/ réal. de Hubert Niogret, 2006 : Né sous l'occupation japonaise, le cinéma coréen a dû faire face à trente ans de dictature militaire. Depuis les années 80, il connaît une véritable renaissance. Il rivalise aujourd'hui avec le cinéma américain et surprend par son dynamisme, sa créativité et sa sophistication.
• Une lecture du film d'Im Kwon-Taek : Le chant de la fidèle Chunhyang / Lee Soojin, 2005 : « version remaniée d'une thèse soutenue en 2003 proposant une lecture sémiotique du film (2000) du réalisateur coréen Im Kwon-Taek. Analyse la structure narrative de cette œuvre inspirée d'un récit traditionnel coréen, la complémentarité du récit filmique et des séquences de représentation d'un spectacle de pansori, ainsi que les éléments significatifs du contexte culturel coréen ».
• Cinéma et spiritualité de l'Orient extrême : Japon et Corée / Roland Schneider, 2003 : « Etudie l'influence des traditions et de la spiritualité dans le cinéma japonais et coréen, à partir de l'étude de films de Mizoguchi, Ozu, Oshima, Kurosawa et Yong Kyun Bae. Il apparaît que les caractéristiques communes à ces films et au cinéma japonais et coréen de manière générale (thèmes, personnages, poésie, décors, contemplation) proviennent de traditions spirituelles ancestrales ».
• Le cinéma sud-coréen, du confucianisme à l'avant-garde : splendeurs et misères du réalisme dans le nouvel ordre spectaculaire / Antoine Coppola, 1997 : « Le cinéma sud-coréen a toujours été le lieu d'une confrontation entre pouvoirs politiques et expérimentation créative. Le passage à un régime officiellement démocratique en 1987 a entraîné une atténuation de la censure, l'ouverture totale des écrans aux films américains et l'apparition de nouvelles esthétiques cinématographiques ».
• Cinéma coréen / sous la direction de A. Apra, 1993 : « Une introduction au cinéma de la Corée du Sud, à travers quelques-uns de ses thèmes majeurs : du rôle de la femme à celui de la religion, des genres canoniques à l'influence de l'histoire. 80 fiches de films et une trentaine de biofilmographies de metteurs en scène complètent le volume ».
Vous trouverez bien d’autres références en interrogeant le catalogue universitaire Sudoc ou en effectuant des recherches sur google livres.
Pour les articles, nous vous conseillons la base de données cairn qui vous permettra de trouver des études comme :
• Gras Pierre, « Vitalité du cinéma coréen », Commentaire, 2008/4 (Numéro 124), p. 1151-1158.
• Coppola Antoine, « Représentations subversives des altersexualités dans le cinéma coréen », Sociétés, 2015/3 (n° 129), p. 125-134.
• Coppola Antoine, « Stéréotypes des femmes dans les films sud-coréens et nord-coréens », Sociétés, 2012/1 (n°115), p. 41-50.
N’oubliez pas de rechercher du côté des travaux universitaires et notamment sur theses.fr. Vous verrez que de nombreux travaux ont été consacrés au cinéma coréen.
Si vous recherchiez des films ou des informations sur certains films nous vous conseillons de réaliser des recherches sur le site de la Cinémathèque, d’interroger le Catalogue collectif des bibliothèques et archives de cinéma ou le CNC, service des archives du film.
Vous voici armé-e pour poursuivre les recherches et ainsi établir une bibliographie sur cette thématique.
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