Question d'origine :
Bonjour,
J'aimerais connaître les structures en Ile-de-France qui
emploient des écrivains publics salariés.
Merci pour votre réponse.
Bien cordialement
Réponse du Guichet
gds_db
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 17/09/2018 à 07h44
Bonjour,
Nous n'avons pas accès à ce type de données.
Peut-être pouvez-vous vous adresser à des structures qui réalisent des enquêtes régulières sur le métier d'écrivain public comme :
- Le syndicat national des prestataires et conseils en écriture
- Académie des écrivains publics de France
- Groupement des écrivains conseils
- Plume et buvard
Ces structures disposent peut-être d'une liste d'employeurs potentiels...
Certains écrivains publics sont salariés d’associations ou de collectivités locales. A vous de les démarcher par candidature spontanée si vous souhaitez travailler dans ce type de structures.
"L’écrivain public travaille-t-il toujours à son compte ou peut-il être salarié d’une mairie, d’une association ?
Un écrivain public répond à des demandes diverses et variées. S’il exerce le plus souvent en cabinet, sous statut libéral (microentrepreneur, entreprise individuelle ou société), cela ne l’empêche pas d’être par ailleurs salarié d’une structure, pour des publications régulières (magazine communal par exemple) ou pour des permanences (aide aux démarches), etc. Il peut aussi intégrer une coopérative d’activités et d’emploi, qui lui sert d’hébergement juridique, fiscal et comptable. Il touche alors aussi un salaire et bénéficie de la couverture sociale des salariés. Autre solution pour rester rattaché au régime général de la Sécurité sociale : le portage salarial, mais qui présente moins d’avantages que la coopérative d’activités et d’emploi, notamment en termes d’accompagnement. "
source : AEPF
Quelques conseils sont donnés sur le site du GREC :
"Quel statut juridique choisir ? Avec quels avantages et inconvénients ?
L’analyse des avantages et des inconvénients propres à chaque statut appartient évidemment d’abord au créateur d’entreprise. Cela dépend notamment de sa capacité à la prise de risques, de son environnement géographique et humain…
Le GREC ne peut que constater la variété des statuts et la grande proportion de microentreprises tant que le chiffre d’affaires n’excède pas le plafond et de professionnels libéraux au réel (au-delà de ce plafond), mais certains possèdent un statut associatif, d’autres pratiquent le portage salarial, ou dépendent d’une couveuse, d’une coopérative, d’une pépinière d’entreprises, d’une SARL, d’une EURL, d’une EIRL, ou encore sont artisans.
Où se renseigner avant de monter sa structure ?
On agit de la même façon que pour toute autre structure :
- auprès des organismes d’aide à la création d’entreprise ;
- auprès des boutiques de gestion ;
- dans les Chambres de Commerce et d’Industrie… "
Bonne journée.
Nous n'avons pas accès à ce type de données.
Peut-être pouvez-vous vous adresser à des structures qui réalisent des enquêtes régulières sur le métier d'écrivain public comme :
- Le syndicat national des prestataires et conseils en écriture
- Académie des écrivains publics de France
- Groupement des écrivains conseils
- Plume et buvard
Ces structures disposent peut-être d'une liste d'employeurs potentiels...
Certains écrivains publics sont salariés d’associations ou de collectivités locales. A vous de les démarcher par candidature spontanée si vous souhaitez travailler dans ce type de structures.
"
Un écrivain public répond à des demandes diverses et variées. S’il exerce le plus souvent en cabinet, sous statut libéral (microentrepreneur, entreprise individuelle ou société), cela ne l’empêche pas d’être par ailleurs salarié d’une structure, pour des publications régulières (magazine communal par exemple) ou pour des permanences (aide aux démarches), etc. Il peut aussi intégrer une coopérative d’activités et d’emploi, qui lui sert d’hébergement juridique, fiscal et comptable. Il touche alors aussi un salaire et bénéficie de la couverture sociale des salariés. Autre solution pour rester rattaché au régime général de la Sécurité sociale : le portage salarial, mais qui présente moins d’avantages que la coopérative d’activités et d’emploi, notamment en termes d’accompagnement. "
source : AEPF
Quelques conseils sont donnés sur le site du GREC :
"
L’analyse des avantages et des inconvénients propres à chaque statut appartient évidemment d’abord au créateur d’entreprise. Cela dépend notamment de sa capacité à la prise de risques, de son environnement géographique et humain…
Le GREC ne peut que constater la variété des statuts et la grande proportion de microentreprises tant que le chiffre d’affaires n’excède pas le plafond et de professionnels libéraux au réel (au-delà de ce plafond), mais certains possèdent un statut associatif, d’autres pratiquent le portage salarial, ou dépendent d’une couveuse, d’une coopérative, d’une pépinière d’entreprises, d’une SARL, d’une EURL, d’une EIRL, ou encore sont artisans.
Où se renseigner avant de monter sa structure ?
On agit de la même façon que pour toute autre structure :
- auprès des organismes d’aide à la création d’entreprise ;
- auprès des boutiques de gestion ;
- dans les Chambres de Commerce et d’Industrie… "
Bonne journée.
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