Question d'origine :
S.V.P.
Même si on n'utilise plus beaucoup ce mot de "patois", désormais ;combien en existe t il actuellement en France et combien en existait t il au début du XX°siècle ? Enfin, lesquels étaient les plus parlés et aussi les plus rares, dans nos campagnes principalement ? merci.
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 04/07/2018 à 15h50
Bonjour,
Pour commencer, le terme de « langue régional »e est privilégié à celui de « patois » et comme l’explique l’article publié sur wikipedia Les langues régionales ou minoritaires de France sont un ensemble de langues géographiquement et historiquement implantées sur le territoire français, autres que la langue française. Les variétés régionales du français ainsi que les langues issues de l'immigration ne sont pas considérées comme des langues régionales.
Cet article publie un tableau recensant les différentes langues de métropole - et non d'Outre Mer - accompagnées du nombre de locuteurs et du pourcentage de la population française et permettant de voir quelles langues sont les plus usitées.
Langues d'oïl, 16 408 000, 58,5 %
Occitann 8 461 000, 25 %
Francoprovençal, 2 197 000, 7,4 %
Dialectes allemands, 1 036 498, 3,5 %
Breton, 985 558, 3,3 %
Corse, 174 702, 0,6 %
Flamand, 156 973, 0,5 %
Catalan, 118 700, 0,4 %
Basque, 109 306, 0,4 %
Le site outilstice.com note que trois chercheurs du CNRS ont constitué un atlas auditif des langues régionales qui comporte124 langue s.
Nous vous conseillons d’aller tester cet excellent outil et ainsi découvrir la diversité des langues régionales en allant sur : atlas.limsi.fr.
Francetvinfo.fr dresse un bilan actuel des langues régionales parlées en France actuellement :
« La France (outre-mer inclus) compte une grande variété de langues régionales, dont certaines ne sont parlées que dans un ou deux départements (comme le basque ou le catalan).
Au nord d'un axe Bordeaux-Clermont-Ferrand-Grenoble, les langues d’oïl (picard, chtimi, lorrain roman, normand, gallo de Bretagne, vendéen, bourbonnais...). Au sud, la langue d'oc (l’occitan et ses variétés : nissart, provençal, languedocien, rouergat, limousin, gascon...). Et aux bordures du pays, diverses langues, comme le flamand, le corse ou le franco-provençal. Sans compter le créole, en outre-mer.
-…)
Déjà, au tournant des années 2000, l'Ined constate "une érosion des langues en une génération ". L'outil pour mesurer cette perte d'attractivité, inscrit dans ce document (en PDF), est "la proportion de pères qui n’ont pas parlé habituellement à leurs enfants de 5 ans la langue que leur propre père leur parlait habituellement à cet âge". Le franco-provençal est la langue la plus atteinte : neuf fois sur dix, cette transmission familiale n'existe pas. L'alsacien résiste le mieux, avec un peu plus de 40% des pères qui déclarent apprendre le dialecte à leur enfant.
Dix ans plus tard, une autre étude de l'Ined, de moindre ampleur, rend compte de cette baisse de la pratique. L'enquête "Information et vie quotidienne" réalisée en 2011 révèle que "86% des personnes interrogées parlent exclusivement le français, alors qu'elles n'étaient que 74% à le parler dans leur enfance. Parmi les personnes nées ou élevées en métropole, ce chiffre atteint 93%."
La perte de vitesse des langues régionales est d'autant plus difficile à évaluer qu'elle est variable selon les langues et selon l'interprétation que les gens ont de leur usage. En Corse, par exemple, "quelque 90 000 personnes, soit 45% de la population adulte de l'île, déclarent s'exprimer en corse avec des proches, selon une étude locale de l'Insee datant de 2004, relayée par France 3 Alsace. Mais selon le collectif Parlemu corsu, "s'il y a 50 000 personnes qui parlent bien le corse, au quotidien, cela serait déjà bien". Entre le déclaratif et la pratique réelle, il y a un écart qu'il est impossible de quantifier avec précision.
La tendance à la baisse semble néanmoins toucher toutes les langues, y compris celles dont la vitalité est la plus forte. Une étude réalisée à l’initiative de l’Office pour la langue et la culture d’Alsace fait état d’un recul marqué du dialecte alsacien, alors même que cette région se définit comme bilingue et de double culture. "Cette étude estime à 42% le nombre d’habitants qui 'parlent' aujourd’hui l’alsacien, alors que le recensement de 1999 avait comptabilisé 62% d’habitants qui 'maîtrisaient' le dialecte alsacien", selon le ministère.
L’Office public de la langue basque parvient au même constat : le pourcentage de bilingues diminue, de 22,5% en 2006 à 21,4% en 2011. Idem enfin pour la langue catalane : selon l’Association pour l’enseignement du catalan, 3 000 locuteurs de catalan disparaissent chaque année dans le département des Pyrénées-Orientales, "tandis que l’enseignement n’en formerait que 300".
Parallèlement, dans une étude menée par l’Ined et retranscrite dans l’article La dynamique des langues en France au fil du XXe siècle par François Héran, Alexandra Filhon et Christine Deprez, lerecensement fait état de 400 langues mais celui-ci comprenait aussi les langues d’immigration .
Ce même constat est formulé dans un document pdf portant sur les langues régionales qui reprend les résultats de l’enquête de 1999, laquelle dénombrait au moins 500 langues dans l’hexagone alors que la liste Cerquiglini en comptait 75 en métropole Outre-Mer . L’article explique ces différences par le fait que :
« Lesquestions du Recensement ne fixaient aucune limite concernant les langues maternelles et les langues parlées autre que le français .
En Métropole nous avons les langues régionales et les langues issues de l'immigration.
Les langues régionales listées sont l'alsacien et le pratt mosellan, le basque, le breton, le catalan, le corse, le flamand, le franco-provençal, l'occitan avec ses 5 variétés et la langue d'oïl avec ses 8 dialectes
(...)°
Outre-Mer les grandes langues régionales sont les créoles à base lexicale française ou autre. Il existe une soixantaine de langues locales ou autochtones comme les langues amérindiennes de Guyanne, les langues polynésiennes, les langues kanak. La Nouvelle Calédonie est typique à cet égard. D'après le recensement de 1996, une population comparable à celle de Corse ou du Pays Basque Nord (250 000
habitants) parle 28 langues locales dont 5 ont un statut de langues régionales ».
Dans son étude sur Langues régionales, langues étrangères : de l’héritage à la pratique, L’insee compare diverses périodes pour constater une forte diminution de la pratique et notamment qu’avant 1930, une personne sur quatre parlait une langue régionale avec ses parents alors que la proportion est tombée à 3 % dans les années 1980-1990 .
En outre, Filhon Alexandra dans l’article Transmission familiale des langues en France: évolutions historiques et concurrences (Annales de démographie historique, 2010/1 (n° 119), p. 205-222) note qu’il «est difficile d’apprécier finement l’évolution de l’usage des langues régionales entre le xixe et le xxe siècle, car on dispose de peu d’enquêtes depuis celle de l’abbé Grégoire de 1794 (Certeau et al., 2002). Elle fut menée auprès d’informateurs (prêtres, juristes, médecins) et permit de dénombrer environ trente « patois » différents. L’usage exclusif du français ne concerne alors qu’une quinzaine de départements sur quatre-vingt-trois, soit moins de trois millions de personnes sur quelque vingt-sept millions. Par la suite, l’administration centrale a refusé bien souvent de rendre compte du paysage linguistique de la France en ne proposant aucune mesure de la diversité des langues présentes sur le territoire . En cela, les appareils d’État ont pleinement participé à la construction de ce sentiment national puisque le choix des questions posées lors des recensements et des enquêtes ont contribué à la diffusion d’une image unifiée de la France et des Français.
Dans ce contexte, l’enquête nationale de 1864 effectuée à l’initiative de Victor Duruy, alors ministre de l’Instruction publique, fait figure d’exception. Elle permet d’esquisser un portrait de la situation linguistique en métropole au xixe siècle.
Les résultats, très peu exploités, rendent compte du paysage linguistique de la France d’alors et indiquent qu’approximativement un quart de la population ne parle pas français et plus encore dans certaines communes de Bretagne, d’Alsace ou dans le Midi occitan (Weber, 1976). Toutefois, on constate que, déjà, même dans les régions de langue non romane, l’utilisation du français n’est pas chose rare. La langue nationale serait d’usage général dans environ la moitié des départements, au centre du pays (Barral, 1998). Dans les deux départements d’Alsace, on trouve autant de communes au sein desquelles l’usage du français est généralisé que de communes où il n’est pas du tout parlé. Il reste dans le Bas-Rhin quelques écoles (45) dans lesquelles les enseignants s’expriment encore uniquement dans la langue locale. Mais, bien souvent ces derniers ont des pratiques bilingues avec leurs élèves. C’est le cas dans plus de quatre écoles sur dix du Bas-Rhin et près de huit sur dix du Haut-Rhin (Vigier, 1979, 202). En Bretagne, c’est prioritairement dans le département du Finistère que se trouvent les bretonnants monolingues. Dans les deux autres départements de langue bretonne, la situation est à peu près semblable à celle de l’Alsace, c’est-à-dire une proportion équivalente de patoisants et de francisants (Vigier, 1979). Enfin, d’après les résultats de l’enquête Duruy, c’est en Occitanie que la langue nationale était la moins répandue puisque, selon celle-ci, moins de 10% des habitants de la région la parlaient.
Pour approfondir ce sujet, nous vous laissons parcourir les études suivantes :
• Jean Sibille. Les langues autochtones de France métropolitaine. Pratiques et savoirs dans Claude Gruaz, Christine Jacquet-Pfau. Autour du mot : pratiques et compétences. Séminaire du Centre du français moderne, Tome II, 2006-2009, Lambert-Lucas, pp.69-85, 2010.
• Les Français et leurs langues : enquêtes sur les patois, dialectes et mots régionaux par Brigitte Horiot,publié sur le portail en langues étrangères de l’Ens, La clé des langues.
• Redéfinir une politique publique en faveur des langues régionales et de la pluralité linguistique interne. Résumé du rapport du Comité consultatif.
• Les langues régionales de France: un état des lieux à la veille du XXIe ... publié par Philippe Blanchet, Roland J. L. Breton, Harold Schiffman, Harold F. Schiffman.
• Langues régionales : langues de France, langues d'Europe de Jean Rousseau, Claire Torreilles, Anthony Lodge, Bernard Oyharçabal, Jacques Fusina, Jérôme Bouvier, Pierre Encrevé, Hervé Guillorel, Andrew Lincoln, Jean-Marie Woehrling, Jean Salles-Loustau.
En guise de conclusion, vous pourrez parcourir l’article publié dans L’express, Onze idées reçues sur les langues régionales et les informations publiées sur le site du Ministère de la Culture.
Pour commencer, le terme de « langue régional »e est privilégié à celui de « patois » et comme l’explique l’article publié sur wikipedia Les langues régionales ou minoritaires de France sont un ensemble de langues géographiquement et historiquement implantées sur le territoire français, autres que la langue française. Les variétés régionales du français ainsi que les langues issues de l'immigration ne sont pas considérées comme des langues régionales.
Cet article publie un tableau recensant les différentes langues de métropole - et non d'Outre Mer - accompagnées du nombre de locuteurs et du pourcentage de la population française et permettant de voir quelles langues sont les plus usitées.
Langues d'oïl, 16 408 000, 58,5 %
Occitann 8 461 000, 25 %
Francoprovençal, 2 197 000, 7,4 %
Dialectes allemands, 1 036 498, 3,5 %
Breton, 985 558, 3,3 %
Corse, 174 702, 0,6 %
Flamand, 156 973, 0,5 %
Catalan, 118 700, 0,4 %
Basque, 109 306, 0,4 %
Le site outilstice.com note que trois chercheurs du CNRS ont constitué un atlas auditif des langues régionales qui comporte
Nous vous conseillons d’aller tester cet excellent outil et ainsi découvrir la diversité des langues régionales en allant sur : atlas.limsi.fr.
Francetvinfo.fr dresse un bilan actuel des langues régionales parlées en France actuellement :
« La France (outre-mer inclus) compte une grande variété de langues régionales, dont certaines ne sont parlées que dans un ou deux départements (comme le basque ou le catalan).
Au nord d'un axe Bordeaux-Clermont-Ferrand-Grenoble, les langues d’oïl (picard, chtimi, lorrain roman, normand, gallo de Bretagne, vendéen, bourbonnais...). Au sud, la langue d'oc (l’occitan et ses variétés : nissart, provençal, languedocien, rouergat, limousin, gascon...). Et aux bordures du pays, diverses langues, comme le flamand, le corse ou le franco-provençal. Sans compter le créole, en outre-mer.
-…)
Déjà, au tournant des années 2000, l'Ined constate "
Dix ans plus tard, une autre étude de l'Ined, de moindre ampleur, rend compte de cette baisse de la pratique. L'enquête "Information et vie quotidienne" réalisée en 2011 révèle que "86% des personnes interrogées parlent exclusivement le français, alors qu'elles n'étaient que 74% à le parler dans leur enfance. Parmi les personnes nées ou élevées en métropole, ce chiffre atteint 93%."
La perte de vitesse des langues régionales est d'autant plus difficile à évaluer qu'elle est variable selon les langues et selon l'interprétation que les gens ont de leur usage. En Corse, par exemple, "quelque 90 000 personnes, soit 45% de la population adulte de l'île, déclarent s'exprimer en corse avec des proches, selon une étude locale de l'Insee datant de 2004, relayée par France 3 Alsace. Mais selon le collectif Parlemu corsu, "s'il y a 50 000 personnes qui parlent bien le corse, au quotidien, cela serait déjà bien". Entre le déclaratif et la pratique réelle, il y a un écart qu'il est impossible de quantifier avec précision.
La tendance à la baisse semble néanmoins toucher toutes les langues, y compris celles dont la vitalité est la plus forte. Une étude réalisée à l’initiative de l’Office pour la langue et la culture d’Alsace fait état d’un recul marqué du dialecte alsacien, alors même que cette région se définit comme bilingue et de double culture. "Cette étude estime à 42% le nombre d’habitants qui 'parlent' aujourd’hui l’alsacien, alors que le recensement de 1999 avait comptabilisé 62% d’habitants qui 'maîtrisaient' le dialecte alsacien", selon le ministère.
L’Office public de la langue basque parvient au même constat : le pourcentage de bilingues diminue, de 22,5% en 2006 à 21,4% en 2011. Idem enfin pour la langue catalane : selon l’Association pour l’enseignement du catalan, 3 000 locuteurs de catalan disparaissent chaque année dans le département des Pyrénées-Orientales, "tandis que l’enseignement n’en formerait que 300".
Parallèlement, dans une étude menée par l’Ined et retranscrite dans l’article La dynamique des langues en France au fil du XXe siècle par François Héran, Alexandra Filhon et Christine Deprez, le
Ce même constat est formulé dans un document pdf portant sur les langues régionales qui reprend les résultats de l’enquête de 1999, laquelle dénombrait au moins
« Les
En Métropole nous avons les langues régionales et les langues issues de l'immigration.
Les langues régionales listées sont l'alsacien et le pratt mosellan, le basque, le breton, le catalan, le corse, le flamand, le franco-provençal, l'occitan avec ses 5 variétés et la langue d'oïl avec ses 8 dialectes
(...)°
Outre-Mer les grandes langues régionales sont les créoles à base lexicale française ou autre. Il existe une soixantaine de langues locales ou autochtones comme les langues amérindiennes de Guyanne, les langues polynésiennes, les langues kanak. La Nouvelle Calédonie est typique à cet égard. D'après le recensement de 1996, une population comparable à celle de Corse ou du Pays Basque Nord (250 000
habitants) parle 28 langues locales dont 5 ont un statut de langues régionales ».
Dans son étude sur Langues régionales, langues étrangères : de l’héritage à la pratique, L’insee compare diverses périodes pour constater une forte diminution de la pratique et notamment qu’
En outre, Filhon Alexandra dans l’article Transmission familiale des langues en France: évolutions historiques et concurrences (Annales de démographie historique, 2010/1 (n° 119), p. 205-222) note qu’il «
Dans ce contexte, l’enquête nationale de 1864 effectuée à l’initiative de Victor Duruy, alors ministre de l’Instruction publique, fait figure d’exception. Elle permet d’esquisser un portrait de la situation linguistique en métropole au xixe siècle.
Les résultats, très peu exploités, rendent compte du paysage linguistique de la France d’alors et indiquent qu’approximativement un quart de la population ne parle pas français et plus encore dans certaines communes de Bretagne, d’Alsace ou dans le Midi occitan (Weber, 1976). Toutefois, on constate que, déjà, même dans les régions de langue non romane, l’utilisation du français n’est pas chose rare. La langue nationale serait d’usage général dans environ la moitié des départements, au centre du pays (Barral, 1998). Dans les deux départements d’Alsace, on trouve autant de communes au sein desquelles l’usage du français est généralisé que de communes où il n’est pas du tout parlé. Il reste dans le Bas-Rhin quelques écoles (45) dans lesquelles les enseignants s’expriment encore uniquement dans la langue locale. Mais, bien souvent ces derniers ont des pratiques bilingues avec leurs élèves. C’est le cas dans plus de quatre écoles sur dix du Bas-Rhin et près de huit sur dix du Haut-Rhin (Vigier, 1979, 202). En Bretagne, c’est prioritairement dans le département du Finistère que se trouvent les bretonnants monolingues. Dans les deux autres départements de langue bretonne, la situation est à peu près semblable à celle de l’Alsace, c’est-à-dire une proportion équivalente de patoisants et de francisants (Vigier, 1979). Enfin, d’après les résultats de l’enquête Duruy, c’est en Occitanie que la langue nationale était la moins répandue puisque, selon celle-ci, moins de 10% des habitants de la région la parlaient.
Pour approfondir ce sujet, nous vous laissons parcourir les études suivantes :
• Jean Sibille. Les langues autochtones de France métropolitaine. Pratiques et savoirs dans Claude Gruaz, Christine Jacquet-Pfau. Autour du mot : pratiques et compétences. Séminaire du Centre du français moderne, Tome II, 2006-2009, Lambert-Lucas, pp.69-85, 2010.
• Les Français et leurs langues : enquêtes sur les patois, dialectes et mots régionaux par Brigitte Horiot,publié sur le portail en langues étrangères de l’Ens, La clé des langues.
• Redéfinir une politique publique en faveur des langues régionales et de la pluralité linguistique interne. Résumé du rapport du Comité consultatif.
• Les langues régionales de France: un état des lieux à la veille du XXIe ... publié par Philippe Blanchet, Roland J. L. Breton, Harold Schiffman, Harold F. Schiffman.
• Langues régionales : langues de France, langues d'Europe de Jean Rousseau, Claire Torreilles, Anthony Lodge, Bernard Oyharçabal, Jacques Fusina, Jérôme Bouvier, Pierre Encrevé, Hervé Guillorel, Andrew Lincoln, Jean-Marie Woehrling, Jean Salles-Loustau.
En guise de conclusion, vous pourrez parcourir l’article publié dans L’express, Onze idées reçues sur les langues régionales et les informations publiées sur le site du Ministère de la Culture.
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