Question d'origine :
Bonjour en faisant des recherches, je suis tombé sur ce blog d'un mec qui donne des cours de séduction en racontant ses aventures. Il dit avoir connu plus de 200 filles. Pensez-vous que c'est possible ? C'est apparemment un pua français pick up artist français
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 13/01/2018 à 09h56
Bonjour,
Pour relativiser l’exploit de ce bloggeur, nous retiendrons une étude Ipsos qui décrypte les pratiques des Français au lit dans laquelle on constate que «quantité ne rime pas forcément avec qualité, 43% des sondés considérant notamment que seule la moitié (voire moins) de leurs partenaires sexuels leur ont véritablement donné du plaisir .
Pour trouver le "bon", les femmes britanniques embrassent généralement 15 hommes. Quant aux Français, ils partagent en moyenne au cours de leur vie leur lit avec 9,5 partenaires sexuels -un peu plus pour les hommes (11 partenaires en moyenne) que pour les femmes (8 partenaires) :
1/ Lesserial lovers se situent aussi du côté des hommes. 12% d'entre eux ont eu de 11 à 20 partenaires (contre 9% des femmes) et 10% d'entre eux plus de 20 partenaires (contre 5% des femmes).
2/ Les Franciliens sont les plus chauds lapins. Ils ont en moyenne 16 partenaires au compteur, contre 8 en Province. Dans le Sud-Ouest, on compte 11 partenaires en moyenne contre 8 dans le Sud-Est.
3/ Les agriculteurs sont les plus coquins. 15% pratiquent l'échangisme (contre 4% pour la moyenne nationale) et 48% ont fait l'amour dans les lieux publics (contre 29% pour la moyenne nationale). Suivent ensuite les professions libérales qui utilisent des sextoys (70%) et qui pratiquent le bondage (20%).
4/ Sexe ne rime pas toujours avec plaisir. Parmi les Français qui ont eu au moins deux partenaires sexuels au cours de leur vie (72% de l'échantillon), 43% considèrent que seule la moitié (ou moins) de leurs partenaires sexuels leur ont véritablement donné du plaisir. Parmi eux, 2% estiment qu'aucun ne s'est montré à la hauteur, 20% moins de la moitié (31% en ce qui concerne les femmes). Pire : près d'une femme sur deux se déclare insatisfaite, notamment les moins de 35 ans qui sont 58% à ne pas avoir eu du plaisir pour la moitié et moins de leurs relations... Elles ne sont que 45% à estimer que la majorité de leurs partenaires les ont satisfaites véritablement...contre 68% des hommes.
5/ 70% ont déjà tenté la fellation/le cunnilingus, pratique qu'ils jugent la plus excitante. Ils sont également plus d'un sur trois (36%) à avoir déjà essayé la sodomie. 24% ont déjà utilisé des sextoys avec leur partenaire, et 20% seuls (27% des femmes contre 13% des hommes). Quant à faire l'amour dans un lieu public, les Français sont près de un sur trois (29%) à avoir tenté l'expérience. Et 4% des Français ayant eu un rapport déclarent avoir pratiqué l'échangisme.
6/ Un cinquième des Français n'a eu qu'un partenaire. 20% des Français affirment n'avoir connu qu'un seul partenaire sexuel (22% des femmes contre 18% des hommes).
7/ 15% des 18-24 ans déclarent n'avoir jamais eu de relations sexuelles. 7% des Français n'ayant jamais fait l'amour ont entre 25 et 34 ans. »
Source : Biba magazine.
Vous trouverez des conclusions similaires sur e-sante.fr
Par ailleurs, le site slate.fr s’intéresse aussi aux partenaires sexuels français et relate une expérience de psychologues de l'université de l'Ohio qui montrait clairement une tendance des personnes interrogées à accroître le nombre de partenaires sexuels. Ainsi, « L'échantillon était scindé en deux entre un groupe «libre de mentir» et un autre auquel on faisait croire à ses membres qu'ils étaient connectés à un détecteur de mensonges, ce qui avait tendance à ramener leur décompte à plus de modestie (pour les hommes) et à l'inverse à un nombre plus important que le groupe test (pour les femmes). »
Enfin, le site Atlantico montre clairement dans l’article « Voilà ce qu'il est raisonnable d'avouer à votre conjoint comme nombre de partenaires sexuels passés si l'on en croit les études sur le sujet » par jean-Roger Dintrans que le « trop » de partenaires n’est pas forcément, là encore, signe de « qualité » :
« S'il est commun de penser qu'un nombre important de partenaires sexuels important chez une femme peut rebuter un homme, cette affirmation serait tout aussi valable dans l'autre sens.Les hommes comme les femmes ne veulent pas d'un partenaire qui a connu "trop" d'autres personnes .
Atlantico : D'après une étude de chercheurs britanniques, les célibataires souhaitent que leurs partenaires sexuels ait connu au moins trois personnes auparavant. Selon vous, que représente ce chiffre ? Y aurait-il eu les mêmes résultats en France ? Qu'est-ce qu'il peut dire de nous, de notre rapport au couple et au sexe ?
Jean-Roger Dintrans :D'après cette étude, les personnes souhaitent que leur partenaire n'ait connu que trois autres personnes sexuellement : plus ce chiffre augmente, moins la personne sera attirante à leurs yeux. Le taux d'attractivité décroît. Cette étude est faite en Angleterre, c'est un pays proche de nous avec un mode de vie similaire. Il y a cependant peut-être une particularité française sur ce qu'il est convenable de déclarer. N'oublions pas que nous sommes un pays latin. Il est possible que notre culture latine accepte plus de partenaires que nos voisins anglo-saxons.
Lorsque que quelqu'un n'a pas eu beaucoup ou du tout de partenaires sexuels, nous avons tendance à craindre que la personne ait des difficultés relationnelles, sexuelles et un manque de confiance en soi. Les femmes plus que les hommes ont du mal à envisager un partenaire sans aucune expérience. Les hommes acceptent beaucoup plus facilement quelqu'un sans expérience sexuelle. Les femmes ont probablement peur de l'ennui causé par un partenaire inexpérimenté.
Par ailleurs, trop de partenaire inquiète aussi pour plusieurs raisons. La crainte des IST existe, mais est probablement supplantée par une peur d'un manque de stabilité chez l'autre, la peur d'être avec une personne qui est dans le consumérisme affectivo-sexuel.
Il est amusant de constater que les personnes qui évoquent leurs critères n'y correspondent pas. Ces personnes jugent probablement leur propre vie sexuelle : ils veulent de l'autre qu'il n'ait pas connu leurs erreurs ainsi que leur propre consumérisme.
Les hommes et les femmes divergent dans le nombre de partenaires qu'ils acceptent chez l'autre. Les femmes sont rebutées par un homme qui a connu plus de 6 personnes tandis que les hommes n'aiment pas les femmes qui ont eu plus de 11 partenaires sexuels. Pourquoi selon vous une telle différence entre les hommes et les femmes ?
Ce qui est surprenant, c'est que les hommes tolèrent plus de partenaires chez les femmes que les hommes chez les femmes. Ce n'est pas cohérent avec le fait que les hommes acceptent plus d'être avec une femme qui a peu d'expérience, ils préfèrent sans doute ne pas être mis dans une situation de rivalité avec d'autres personnes.
Finalement, passée cette première surprise qui casse le préjugé des hommes jaloux, les femmes comme les hommes refusent que l'autre ait eu plus de partenaires qu'eux-mêmes. Il y a un parallélisme entre le nombre de partenaires qu'ils ont eus et celui qu'ils tolèrent chez l'autre. Chacun est son propre critère de mesure. Autant pour le nombre idéal de partenaires, les personnes ne se prennent pas pour critères, en revanche en ce qui concerne les limites, ils se choisissent comme mètre étalon… »
Madame Figaro dans l’article en date du 28 juin 2°14, « Plus de partenaires sexuels... pour plus de plaisir ? » rapporte que « Les personnes ayant eu peu d'amants seraient plus satisfaites de leur vie sexuelle que celle qui en ont connu plus d’une dizaine
Les personnes ayant eu peu de partenaires sexuels seraient plus satisfaites de leur vie sexuelle que celles qui ont connu plus d'une dizaine d'amants . Pourtant, c'est en diversifiant les partenaires qu'on découvre plus facilement sa propre sexualité.
Ce n'est pas la quantité, mais la qualité qui compte . En matière de sexe, la récente étude sur les pratiques sexuelles des Français réalisée par l'Ifop pour Marianne semble confirmer ce précepte. Les personnes qui n'auraient eu qu'un seul partenaire sont 77% à être satisfaites au lit contre 72% de celles qui ont besoin de plus de dix doigts pour énumérer la liste de leurs amants.
Le nombre de partenaires importe-t-il si peu dans la quête du plaisir ? Vaudrait-il mieux rester fidèle à une personne plutôt que d'adopter la méthode Don Juan pour devenir une diva du nirvana ? La question crispe le couple de longue date, fait frissonner le lover du samedi soir. En soi, il vaut mieux coucher mille fois avec une personne plutôt qu'une fois avec mille personnes différentes pour gagner en qualité, les premières fois étant souvent hésitantes.
(..)
Adrien, lui, est rassasié. A 25 ans, ce beau brun estime le nombre de ses amants à une centaine . La multiplication des partenaires n'a pas renforcé son plaisir. Pire, elle lui a même enlevé de sa saveur . " Accumuler les partenaires m'a plus souvent mené à de la frustration. J'ai exploré beaucoup de choses et maintenant tout me paraît plus fade et pas forcément excitant, même les plans à trois ". En revanche, Adrien se dit " mûr " car il sait ce qu'il aime : une relation simple, complice avec une personne qui lui plaît vraiment. " Plutôt que de dire qu'on " apprend plus ", je pense que le plaisir est surtout une question de lâcher prise de feeling. Et on est souvent surpris par la personne qui nous met dans cet état de confiance ".
Mais, attention Adrien dit-il toute la vérité ? En effet, de nombreuses études montrent qu’hommes et femmes mentent sur le nombre des partenaires sexuels . Les premiers tendent à augmenter le chiffre de leurs conquêtes quand, à l’inverse, les femmes tendent à diminuer le nombre de partenaires. Vous pourrez consulter ces analyses sur leplusnouvelobs.com ou lexpress.fr.
Pour finir, dans la légèreté et relativiser les exploits de votre bloggeur, sachez qu’en 2013, une polonaise, Ania Lisewska communiquait sur le fait qu’elle lançait un marathon particulier dont l’objectif était d’avoir des rapports sexuels avec 100 000 hommes avec une moyenne de 122 hommes par week end (voir l’article du dailymail)
Enfin, notons là, un record acté, celui de « Thomas Vogel a réalisé un exploit qui en laissera certains rêveurs. Il a dégrafé 56 soutien-gorge en une minute ».
Plus sérieusement, pour approfondir cette thématique, nous vous laissons consulter une enquête, qui, bien qu’un peu ancienne, devrait vous intéresser :
Enquête sur la sexualité en France : Pratiques, genre et santé. / Sous la direction de Nathalie Bajos et Michel Bozon ; Coordination de Nathalie Beltzer ; Préface de Maurice Godelier, 2008 : "Le paysage de la sexualité est en pleine transformation. L'enquête "Contexte de la sexualité en France", réalisée en 2006, a pris la mesure de ces changements et a relevé un véritable défi scientifique et éthique. Les pratiques et les relations sexuelles, le plaisir et les désaccords entre partenaires y ont été explorés à divers âges, ainsi que les représentations de la sexualité et les conditions de vie. Douze mille personnes ont accepté de participer à cette recherche et de parler de leurs différents partenaires, de leurs pratiques sexuelles, hétérosexuelles et homosexuelles, des rencontres par Internet, des phases de la vie sans activité sexuelle, des violences subies, de leurs difficultés sexuelles, du recours aux traitements de l'érection..."
Pour relativiser l’exploit de ce bloggeur, nous retiendrons une étude Ipsos qui décrypte les pratiques des Français au lit dans laquelle on constate que «
Pour trouver le "bon", les femmes britanniques embrassent généralement 15 hommes. Quant aux
1/ Les
2/ Les Franciliens sont les plus chauds lapins. Ils ont en moyenne 16 partenaires au compteur, contre 8 en Province. Dans le Sud-Ouest, on compte 11 partenaires en moyenne contre 8 dans le Sud-Est.
3/ Les agriculteurs sont les plus coquins. 15% pratiquent l'échangisme (contre 4% pour la moyenne nationale) et 48% ont fait l'amour dans les lieux publics (contre 29% pour la moyenne nationale). Suivent ensuite les professions libérales qui utilisent des sextoys (70%) et qui pratiquent le bondage (20%).
4/ Sexe ne rime pas toujours avec plaisir. Parmi les Français qui ont eu au moins deux partenaires sexuels au cours de leur vie (72% de l'échantillon), 43% considèrent que seule la moitié (ou moins) de leurs partenaires sexuels leur ont véritablement donné du plaisir. Parmi eux, 2% estiment qu'aucun ne s'est montré à la hauteur, 20% moins de la moitié (31% en ce qui concerne les femmes). Pire : près d'une femme sur deux se déclare insatisfaite, notamment les moins de 35 ans qui sont 58% à ne pas avoir eu du plaisir pour la moitié et moins de leurs relations... Elles ne sont que 45% à estimer que la majorité de leurs partenaires les ont satisfaites véritablement...contre 68% des hommes.
5/ 70% ont déjà tenté la fellation/le cunnilingus, pratique qu'ils jugent la plus excitante. Ils sont également plus d'un sur trois (36%) à avoir déjà essayé la sodomie. 24% ont déjà utilisé des sextoys avec leur partenaire, et 20% seuls (27% des femmes contre 13% des hommes). Quant à faire l'amour dans un lieu public, les Français sont près de un sur trois (29%) à avoir tenté l'expérience. Et 4% des Français ayant eu un rapport déclarent avoir pratiqué l'échangisme.
6/ Un cinquième des Français n'a eu qu'un partenaire. 20% des Français affirment n'avoir connu qu'un seul partenaire sexuel (22% des femmes contre 18% des hommes).
7/ 15% des 18-24 ans déclarent n'avoir jamais eu de relations sexuelles. 7% des Français n'ayant jamais fait l'amour ont entre 25 et 34 ans. »
Source : Biba magazine.
Vous trouverez des conclusions similaires sur e-sante.fr
Par ailleurs, le site slate.fr s’intéresse aussi aux partenaires sexuels français et relate une expérience de psychologues de l'université de l'Ohio qui montrait clairement une tendance des personnes interrogées à accroître le nombre de partenaires sexuels. Ainsi, « L'échantillon était scindé en deux entre un groupe «libre de mentir» et un autre auquel on faisait croire à
Enfin, le site Atlantico montre clairement dans l’article « Voilà ce qu'il est raisonnable d'avouer à votre conjoint comme nombre de partenaires sexuels passés si l'on en croit les études sur le sujet » par jean-Roger Dintrans que le « trop » de partenaires n’est pas forcément, là encore, signe de « qualité » :
« S'il est commun de penser qu'un nombre important de partenaires sexuels important chez une femme peut rebuter un homme, cette affirmation serait tout aussi valable dans l'autre sens.
Atlantico : D'après une étude de chercheurs britanniques, les célibataires souhaitent que leurs partenaires sexuels ait connu au moins trois personnes auparavant. Selon vous, que représente ce chiffre ? Y aurait-il eu les mêmes résultats en France ? Qu'est-ce qu'il peut dire de nous, de notre rapport au couple et au sexe ?
Jean-Roger Dintrans :
Lorsque que quelqu'un n'a pas eu beaucoup ou du tout de partenaires sexuels, nous avons tendance à craindre que la personne ait des difficultés relationnelles, sexuelles et un manque de confiance en soi. Les femmes plus que les hommes ont du mal à envisager un partenaire sans aucune expérience. Les hommes acceptent beaucoup plus facilement quelqu'un sans expérience sexuelle. Les femmes ont probablement peur de l'ennui causé par un partenaire inexpérimenté.
Par ailleurs,
Il est amusant de constater que les personnes qui évoquent leurs critères n'y correspondent pas. Ces personnes jugent probablement leur propre vie sexuelle : ils veulent de l'autre qu'il n'ait pas connu leurs erreurs ainsi que leur propre consumérisme.
Les hommes et les femmes divergent dans le nombre de partenaires qu'ils acceptent chez l'autre. Les femmes sont rebutées par un homme qui a connu plus de 6 personnes tandis que les hommes n'aiment pas les femmes qui ont eu plus de 11 partenaires sexuels. Pourquoi selon vous une telle différence entre les hommes et les femmes ?
Ce qui est surprenant, c'est que les hommes tolèrent plus de partenaires chez les femmes que les hommes chez les femmes. Ce n'est pas cohérent avec le fait que les hommes acceptent plus d'être avec une femme qui a peu d'expérience, ils préfèrent sans doute ne pas être mis dans une situation de rivalité avec d'autres personnes.
Finalement, passée cette première surprise qui casse le préjugé des hommes jaloux, les femmes comme les hommes refusent que l'autre ait eu plus de partenaires qu'eux-mêmes. Il y a un parallélisme entre le nombre de partenaires qu'ils ont eus et celui qu'ils tolèrent chez l'autre. Chacun est son propre critère de mesure. Autant pour le nombre idéal de partenaires, les personnes ne se prennent pas pour critères, en revanche en ce qui concerne les limites, ils se choisissent comme mètre étalon… »
Madame Figaro dans l’article en date du 28 juin 2°14, « Plus de partenaires sexuels... pour plus de plaisir ? » rapporte que « Les personnes ayant eu peu d'amants seraient plus satisfaites de leur vie sexuelle que celle qui en ont connu plus d’une dizaine
Le nombre de partenaires importe-t-il si peu dans la quête du plaisir ? Vaudrait-il mieux rester fidèle à une personne plutôt que d'adopter la méthode Don Juan pour devenir une diva du nirvana ? La question crispe le couple de longue date, fait frissonner le lover du samedi soir. En soi, il vaut mieux coucher mille fois avec une personne plutôt qu'une fois avec mille personnes différentes pour gagner en qualité, les premières fois étant souvent hésitantes.
(..)
Mais, attention Adrien dit-il toute la vérité ? En effet, de nombreuses études montrent qu’
Pour finir, dans la légèreté et relativiser les exploits de votre bloggeur, sachez qu’en 2013, une polonaise, Ania Lisewska communiquait sur le fait qu’elle lançait un marathon particulier dont l’objectif était d’avoir des rapports sexuels avec 100 000 hommes avec une moyenne de 122 hommes par week end (voir l’article du dailymail)
Enfin, notons là, un record acté, celui de « Thomas Vogel a réalisé un exploit qui en laissera certains rêveurs. Il a dégrafé 56 soutien-gorge en une minute ».
Plus sérieusement, pour approfondir cette thématique, nous vous laissons consulter une enquête, qui, bien qu’un peu ancienne, devrait vous intéresser :
Enquête sur la sexualité en France : Pratiques, genre et santé. / Sous la direction de Nathalie Bajos et Michel Bozon ; Coordination de Nathalie Beltzer ; Préface de Maurice Godelier, 2008 : "Le paysage de la sexualité est en pleine transformation. L'enquête "Contexte de la sexualité en France", réalisée en 2006, a pris la mesure de ces changements et a relevé un véritable défi scientifique et éthique. Les pratiques et les relations sexuelles, le plaisir et les désaccords entre partenaires y ont été explorés à divers âges, ainsi que les représentations de la sexualité et les conditions de vie. Douze mille personnes ont accepté de participer à cette recherche et de parler de leurs différents partenaires, de leurs pratiques sexuelles, hétérosexuelles et homosexuelles, des rencontres par Internet, des phases de la vie sans activité sexuelle, des violences subies, de leurs difficultés sexuelles, du recours aux traitements de l'érection..."
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