Lieux collectifs et démocratie participative.
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 12/07/2017 à 08h13
1625 vues
Question d'origine :
Bonjour,
Je suis a la recherche d'études de lieux collectifs a organisation horizontale (cooperatives, squats, mouvements sociaux...). Je recherche en particulier des approches sociologiques, psychologiques, communicationnels sur l'organisation horizontale pour mettre en place des outils de coopération aidant l'émergence d'une démocratie participative.
Merci d'avance pour les textes et références sur lesquels vous pourrez m'aiguiller.
Réponse du Guichet
gds_et
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 13/07/2017 à 09h59
Bonjour,
Voici plusieurs études présentant des exemples de mobilisations participatives et citoyennes :
• Un million de révolutions tranquilles : travail, environnement, santé, argent, habitat... : comment les citoyens changent le monde Bénédicte Manier
« Ils reverdissent les déserts. Ils rendent leurs territoires autonomes en énergies renouvelables. Ils imaginent des outils de démocratie directe. Ils construisent des habitats coopératifs et implantent l'agriculture dans les villes. Ils créent des circuits financiers éthiques et de nouvelles formes de travail, horizontales et collaboratives. Et, partout dans le monde, ils échangent sans argent, fabriquent, réparent, recyclent et mettent en place de nouveaux communs. Qui sont-ils ? Des hommes et des femmes qui ont repris en main les enjeux qui les concernent. Et qui, de New York à Tokyo, de Barcelone aux villages du Burkina Faso et de l'Inde, inventent ce que pourrait être le monde de demain. A sa parution en 2012, ce livre a été le premier à décrire la dimension mondiale de ces révolutions silencieuses. Il est devenu une référence pour tous ceux qui se reconnaissent dans ces nouveaux modes de vie et a reçu le Prix 2013 du Livre Environnement. Avec cette deuxième édition enrichie, Bénédicte Manier poursuit son voyage au sein de cette société civile innovante. Elle montre que de simples citoyens peuvent trouver des solutions à la plupart des maux de la planète. Des solutions qui dessinent les contours d'une société plus écologique, plus participative, plus solidaire. »
• Développement du territoire, environnement et démocratie participative : le cas de la LGV Bordeaux-Toulouse, Elodie Férezin ; sous la direction de Marie-Gabrielle Suraud
« Ce travail propose une analyse de la mobilisation citoyenne autour du projet de LGV Bordeaux-Toulouse sur une période de dix ans. La mise en place du débat public par la CNDP en 2005 constitue une étape permettant à la population de prendre connaissance de l'existence d'un projet LGV. Ce premier débat public n'engage aucun tracé précis, l'enjeu est essentiellement de statuer sur l'opportunité d'une LGV entre Bordeaux et Toulouse. Progressivement, une mobilisation se structure. Cependant, nous montrons que la mobilisation n'est pas homogène tout au long du tracé et dépend du contexte local. Il n'y a que dans le Bordelais où les citoyens se mobilisent et participent au débat public organisé par la CNDP pour contester le projet LGV. En 2009, le maître d'ouvrage, RFF, met en place un nouveau dispositif participatif : la concertation dite " GPSO " (Grand Projet du Sud-Ouest). L'enjeu de cette nouvelle procédure participative vise, cette fois-ci, l'élaboration d'un tracé précis. La proposition d'un tracé par le maître d'ouvrage contribue à généraliser la contestation relative à la LGV au-delà du Bordelais. En effet, lors du débat public de 2005 la question de l'opportunité du projet a été tranchée, ce que remettent en cause les groupes civiques de Bordeaux à Toulouse. Dans le Lot-et-Garonne, notamment, de nombreuses associations d'opposants voient le jour et s'organisent en collectif, la Coordination 47. Ces associations se structurent et s'entendent pour proposer un projet alternatif. Contrairement au maître d'ouvrage qui souhaite la création de nouvelles voies, la Coordination 47 défend, quant à elle, la possibilité de réhabiliter les voies existantes. La Coordination 47 s'engage alors dans d'importantes actions de sensibilisation de la population afin de favoriser la participation des citoyens à l'enquête publique qui se déroule en 2014. Les militants ont obtenu gain de cause : la participation du " public " a été soutenue et la commission d'enquête a rendu un avis défavorable. A ce jour, le gouvernement n'a pas encore rendu sa décision. »
• La conduite du pouvoir local dans la cité : étude de deux cas de la démocratie participative en France et en Iran, Zahra Taieh ; sous la direction de Azadeh Kian
« En partant d'une problématique générale sur la place de la démocratie participative dans la politique publique territoriale, nous proposons de recentrer la notion de "participation de la société civile". Les démocraties contemporaines se cherchent un nouvel esprit, de nouveaux fondements. Les formes classiques de la représentation politique suivent, mais leur légitimité s'amenuise et leur efficacité décline. La crise de la représentation politique et des formes de gouvernement s'accompagnent d'une contestation du pouvoir scientifique et technique à partir duquel sont aussi légitimées les politiques publiques. Dans un contexte de remise en question du rôle de l'Etat, la participation des habitants constituerait un facteur favorisant, à la fois une nouvelle légitimité politique et une modernisation de la gestion publique locale. La participation incite à engager de larges réflexions en interrogeant la démocratie française et iranienne et le rôle des habitants en dehors des périodes électorales dans un système représentatif. »
• Urbanisme : la parole citoyenne, Héloïse Nez
« Les citoyens sont de plus en plus amenés à donner leur avis sur les questions d'urbanisme. Ils peuvent être sollicités par les pouvoirs publics, par exemple dans les conseils de quartier et les budgets participatifs, ou prendre spontanément la parole pour contester un projet dans leur quartier et avoir un impact sur l'évolution de leur ville. Quel est l'apport des citoyens à l'élaboration des politiques urbaines ? En quoi leurs savoirs sont-ils différents de ceux des élus et des techniciens ? Comment les responsables politiques et les professionnels réagissent-ils face à l'émergence de cette parole citoyenne ? Est-elle prise en compte dans la construction de la ville ? Cet ouvrage apporte des clés de compréhension sur les savoirs citoyens dans l'urbanisme participatif, à partir d'une enquête sociologique menée pendant trois ans auprès d'habitants, d'associatifs, d'élus et de professionnels investis dans des processus de démocratie participative à Paris. »
• Le citoyen, le politique et l'expert à l'épreuve des dispositifs participatifs : étude de cas sur une conférence de citoyens sur la dépendance à l'automobile et discussion, Judith Ferrando y Puig ; sous la direction de Dominique Desjeux
• Participation politisation et rapports de genre : changement social en milieu populaire (Venezuela, 2002-2012) Jessica Brandler-Weinreb ; sous la direction de Denis Merklen
« Cette thèse porte sur le rapport des femmes au politique, étudié à travers le prisme de la participation locale des classes populaires. Au Venezuela, sous les gouvernements Chávez, la volonté étatique de favoriser la participation locale et de lutter contre les inégalités de genre, croise et rend visible des dynamiques et des trajectoires individuelles d’acteurs ordinaires, qui sont en majorité des femmes. La politique bolivarienne de la participation se réalise à partir de l’expérience quotidienne et des relations interpersonnelles. Les structures étatiques locales que sont les Conseils Locaux de Planification Publique et les Conseils Communaux articulent ainsi espace public et espace privé. Dans ce pays matrifocal, la pratique de cette politique territorialisée permet aux femmes des classes populaires de transformer leur autorité en une ressource politique qui est désormais reconnue et institutionnalisée. Ce processus modifie le rapport à soi, à la famille, à la communauté, mais aussi au pouvoir institué, allant jusqu’à transformer les rapports gouvernants-gouvernés. Fruit de sept années de recherche et de près de deux ans de terrain, cette thèse allie les techniques classiques de l’enquête sociologique à de nouveaux outils révélant l’importance du tournant affectif induit par l’expérience participative dans la vie des enquêtés. »
• Démocratie participative et projets urbains : étude appliquée au 4ème arrondissement de Paris Sandra Leblond ; sous la direction de Philippe Thiard
• Pratiques et critiques de la démocratie participative dans le cadre d'une étude sur les déplacements : rapport de stage au bureau d'étude en urbanisme, l'atelier Tel : mémoire de fin d'études 2e année, Marie-Laure Turban ; directeur de mémoire, Guillaume Faburel
• Amorce de la démocratie participative environnementale : le Grenelle de l'environnement et la participation en province : étude de la consultation régionale à Arras, Marianne Greenwood ; Sous la direction de Luc Semal
En complément nous vous proposons une bibliographie générale sur la démocration participative :
- La démocratie participative inachevée : genèse, adaptations et diffusions, sous la direction de Marie-Hélène Bacqué et Yves Sintomer ; avec la collaboration d'Amélie Flamand et Héloïse Nez
- La démocratie participative, Jean-Pierre Gaudin
- Pour une démocratie participative, Antoine Bevort
- De la démocratie participative : fondements et limites, Marc Crépon, Bernard Stiegler
- Démocratie participative en Europe, dir. Robert Boure; dossier coordonné par Stefan Bratosin
- Démocratie participative et transformation sociale, Patrick Coulon
- La démocratie participative : histoire et généalogie sous la direction de Marie-Hélène Bacqué et Yves Sintomer
- Le nouvel esprit de la démocratie : actualité de la démocratie participative, Loïc Blondiaux
- Gestion de proximité et démocratie participative : une perspective comparative, sous la direction de Marie-Hélène Bacqué, Henri Rey et Yves Sintomer
- La démocratie participative a-t-elle un sexe ? coordonné par Marion Paoletti, Sandrine Rui et Loic Blondiaux
- Les lois Auroux, 25 ans après : 1982-2007 : où en est la démocratie participative ? [actes de la journée d'étude de Brest, faculté de droit de l'Université de Bretagne occidentale, 20-21 mars 2007], sous la direction de Jacques Le Goff
Vous pouvez également poursuivre votre recherche dansCairn , où nous trouvons par exemple :
- Garibay, David. Vingt-cinq ans après Porto Alegre, où en est (l’étude de) la démocratie participative en Amérique latine ?, Participations, vol. 11, no. 1, 2015, pp. 7-52.
- Neveu, Catherine. Démocratie participative et mouvements sociaux : entre domestication et ensauvagement ?, Participations, vol. 1, no. 1, 2011, pp. 186-209.
- Flichy, Patrice. La démocratie 2.0, Études, vol. tome 412, no. 5, 2010, pp. 617-626.
Bonne journée.
Voici plusieurs études présentant des exemples de mobilisations participatives et citoyennes :
• Un million de révolutions tranquilles : travail, environnement, santé, argent, habitat... : comment les citoyens changent le monde Bénédicte Manier
« Ils reverdissent les déserts. Ils rendent leurs territoires autonomes en énergies renouvelables. Ils imaginent des outils de démocratie directe. Ils construisent des habitats coopératifs et implantent l'agriculture dans les villes. Ils créent des circuits financiers éthiques et de nouvelles formes de travail, horizontales et collaboratives. Et, partout dans le monde, ils échangent sans argent, fabriquent, réparent, recyclent et mettent en place de nouveaux communs. Qui sont-ils ? Des hommes et des femmes qui ont repris en main les enjeux qui les concernent. Et qui, de New York à Tokyo, de Barcelone aux villages du Burkina Faso et de l'Inde, inventent ce que pourrait être le monde de demain. A sa parution en 2012, ce livre a été le premier à décrire la dimension mondiale de ces révolutions silencieuses. Il est devenu une référence pour tous ceux qui se reconnaissent dans ces nouveaux modes de vie et a reçu le Prix 2013 du Livre Environnement. Avec cette deuxième édition enrichie, Bénédicte Manier poursuit son voyage au sein de cette société civile innovante. Elle montre que de simples citoyens peuvent trouver des solutions à la plupart des maux de la planète. Des solutions qui dessinent les contours d'une société plus écologique, plus participative, plus solidaire. »
• Développement du territoire, environnement et démocratie participative : le cas de la LGV Bordeaux-Toulouse, Elodie Férezin ; sous la direction de Marie-Gabrielle Suraud
« Ce travail propose une analyse de la mobilisation citoyenne autour du projet de LGV Bordeaux-Toulouse sur une période de dix ans. La mise en place du débat public par la CNDP en 2005 constitue une étape permettant à la population de prendre connaissance de l'existence d'un projet LGV. Ce premier débat public n'engage aucun tracé précis, l'enjeu est essentiellement de statuer sur l'opportunité d'une LGV entre Bordeaux et Toulouse. Progressivement, une mobilisation se structure. Cependant, nous montrons que la mobilisation n'est pas homogène tout au long du tracé et dépend du contexte local. Il n'y a que dans le Bordelais où les citoyens se mobilisent et participent au débat public organisé par la CNDP pour contester le projet LGV. En 2009, le maître d'ouvrage, RFF, met en place un nouveau dispositif participatif : la concertation dite " GPSO " (Grand Projet du Sud-Ouest). L'enjeu de cette nouvelle procédure participative vise, cette fois-ci, l'élaboration d'un tracé précis. La proposition d'un tracé par le maître d'ouvrage contribue à généraliser la contestation relative à la LGV au-delà du Bordelais. En effet, lors du débat public de 2005 la question de l'opportunité du projet a été tranchée, ce que remettent en cause les groupes civiques de Bordeaux à Toulouse. Dans le Lot-et-Garonne, notamment, de nombreuses associations d'opposants voient le jour et s'organisent en collectif, la Coordination 47. Ces associations se structurent et s'entendent pour proposer un projet alternatif. Contrairement au maître d'ouvrage qui souhaite la création de nouvelles voies, la Coordination 47 défend, quant à elle, la possibilité de réhabiliter les voies existantes. La Coordination 47 s'engage alors dans d'importantes actions de sensibilisation de la population afin de favoriser la participation des citoyens à l'enquête publique qui se déroule en 2014. Les militants ont obtenu gain de cause : la participation du " public " a été soutenue et la commission d'enquête a rendu un avis défavorable. A ce jour, le gouvernement n'a pas encore rendu sa décision. »
• La conduite du pouvoir local dans la cité : étude de deux cas de la démocratie participative en France et en Iran, Zahra Taieh ; sous la direction de Azadeh Kian
« En partant d'une problématique générale sur la place de la démocratie participative dans la politique publique territoriale, nous proposons de recentrer la notion de "participation de la société civile". Les démocraties contemporaines se cherchent un nouvel esprit, de nouveaux fondements. Les formes classiques de la représentation politique suivent, mais leur légitimité s'amenuise et leur efficacité décline. La crise de la représentation politique et des formes de gouvernement s'accompagnent d'une contestation du pouvoir scientifique et technique à partir duquel sont aussi légitimées les politiques publiques. Dans un contexte de remise en question du rôle de l'Etat, la participation des habitants constituerait un facteur favorisant, à la fois une nouvelle légitimité politique et une modernisation de la gestion publique locale. La participation incite à engager de larges réflexions en interrogeant la démocratie française et iranienne et le rôle des habitants en dehors des périodes électorales dans un système représentatif. »
• Urbanisme : la parole citoyenne, Héloïse Nez
« Les citoyens sont de plus en plus amenés à donner leur avis sur les questions d'urbanisme. Ils peuvent être sollicités par les pouvoirs publics, par exemple dans les conseils de quartier et les budgets participatifs, ou prendre spontanément la parole pour contester un projet dans leur quartier et avoir un impact sur l'évolution de leur ville. Quel est l'apport des citoyens à l'élaboration des politiques urbaines ? En quoi leurs savoirs sont-ils différents de ceux des élus et des techniciens ? Comment les responsables politiques et les professionnels réagissent-ils face à l'émergence de cette parole citoyenne ? Est-elle prise en compte dans la construction de la ville ? Cet ouvrage apporte des clés de compréhension sur les savoirs citoyens dans l'urbanisme participatif, à partir d'une enquête sociologique menée pendant trois ans auprès d'habitants, d'associatifs, d'élus et de professionnels investis dans des processus de démocratie participative à Paris. »
• Le citoyen, le politique et l'expert à l'épreuve des dispositifs participatifs : étude de cas sur une conférence de citoyens sur la dépendance à l'automobile et discussion, Judith Ferrando y Puig ; sous la direction de Dominique Desjeux
• Participation politisation et rapports de genre : changement social en milieu populaire (Venezuela, 2002-2012) Jessica Brandler-Weinreb ; sous la direction de Denis Merklen
« Cette thèse porte sur le rapport des femmes au politique, étudié à travers le prisme de la participation locale des classes populaires. Au Venezuela, sous les gouvernements Chávez, la volonté étatique de favoriser la participation locale et de lutter contre les inégalités de genre, croise et rend visible des dynamiques et des trajectoires individuelles d’acteurs ordinaires, qui sont en majorité des femmes. La politique bolivarienne de la participation se réalise à partir de l’expérience quotidienne et des relations interpersonnelles. Les structures étatiques locales que sont les Conseils Locaux de Planification Publique et les Conseils Communaux articulent ainsi espace public et espace privé. Dans ce pays matrifocal, la pratique de cette politique territorialisée permet aux femmes des classes populaires de transformer leur autorité en une ressource politique qui est désormais reconnue et institutionnalisée. Ce processus modifie le rapport à soi, à la famille, à la communauté, mais aussi au pouvoir institué, allant jusqu’à transformer les rapports gouvernants-gouvernés. Fruit de sept années de recherche et de près de deux ans de terrain, cette thèse allie les techniques classiques de l’enquête sociologique à de nouveaux outils révélant l’importance du tournant affectif induit par l’expérience participative dans la vie des enquêtés. »
• Démocratie participative et projets urbains : étude appliquée au 4ème arrondissement de Paris Sandra Leblond ; sous la direction de Philippe Thiard
• Pratiques et critiques de la démocratie participative dans le cadre d'une étude sur les déplacements : rapport de stage au bureau d'étude en urbanisme, l'atelier Tel : mémoire de fin d'études 2e année, Marie-Laure Turban ; directeur de mémoire, Guillaume Faburel
• Amorce de la démocratie participative environnementale : le Grenelle de l'environnement et la participation en province : étude de la consultation régionale à Arras, Marianne Greenwood ; Sous la direction de Luc Semal
En complément nous vous proposons une bibliographie générale sur la démocration participative :
- La démocratie participative inachevée : genèse, adaptations et diffusions, sous la direction de Marie-Hélène Bacqué et Yves Sintomer ; avec la collaboration d'Amélie Flamand et Héloïse Nez
- La démocratie participative, Jean-Pierre Gaudin
- Pour une démocratie participative, Antoine Bevort
- De la démocratie participative : fondements et limites, Marc Crépon, Bernard Stiegler
- Démocratie participative en Europe, dir. Robert Boure; dossier coordonné par Stefan Bratosin
- Démocratie participative et transformation sociale, Patrick Coulon
- La démocratie participative : histoire et généalogie sous la direction de Marie-Hélène Bacqué et Yves Sintomer
- Le nouvel esprit de la démocratie : actualité de la démocratie participative, Loïc Blondiaux
- Gestion de proximité et démocratie participative : une perspective comparative, sous la direction de Marie-Hélène Bacqué, Henri Rey et Yves Sintomer
- La démocratie participative a-t-elle un sexe ? coordonné par Marion Paoletti, Sandrine Rui et Loic Blondiaux
- Les lois Auroux, 25 ans après : 1982-2007 : où en est la démocratie participative ? [actes de la journée d'étude de Brest, faculté de droit de l'Université de Bretagne occidentale, 20-21 mars 2007], sous la direction de Jacques Le Goff
Vous pouvez également poursuivre votre recherche dans
- Garibay, David. Vingt-cinq ans après Porto Alegre, où en est (l’étude de) la démocratie participative en Amérique latine ?, Participations, vol. 11, no. 1, 2015, pp. 7-52.
- Neveu, Catherine. Démocratie participative et mouvements sociaux : entre domestication et ensauvagement ?, Participations, vol. 1, no. 1, 2011, pp. 186-209.
- Flichy, Patrice. La démocratie 2.0, Études, vol. tome 412, no. 5, 2010, pp. 617-626.
Bonne journée.
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