Pratique du Mahatma Gandhi
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 25/04/2017 à 14h49
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Question d'origine :
Bonjour à vous,
J'ai lu à plusieurs reprises que le Mahatma Gandhi pratiquait une forme spécifique de chasteté, qui consistait à s'entourer de jeunes femmes séduisantes (voire : dormir avec de jeunes femmes nues) afin de tester sa résistance à la tentation.
Le terme indien de cette ascèse bien particulière semble être "Brahmacharya", mais je me rappelle avoir lu un terme plus scientifique -voire médical- à base de racines grecques ou latines, et je ne retrouve plus ce terme. Sauriez-vous quel est ce mot ?
Merci d'avance,
Très cordialement.
Réponse du Guichet
gds_et
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 28/04/2017 à 10h04
Bonjour,
Au terme de notre recherche, nous pensons que le terme que vous recherchez peut être syneisaktisme, une « forme d'ascèse consistant en la cohabitation chaste avec une personne de sexe différent . Elle constitue ainsi un instrument de mortification dans le but de surmonter ses tentations charnelles . Il est décrit pour la première fois dans la littérature chrétienne chez les Pères du désert et se retrouve dans le monachisme celtique. Robert d'Arbrissel est sans doute l'une des personnalités chrétiennes les plus célèbres ayant pratiqué ce type d'ascèse.
Étymologie et synonymes
Le terme de syneisaktismevient du grec ancien συνείσακτοι qui désigne les compagnes des ascètes qui les accompagnent dans cette pratique . L'expression vient du verbe συνεισάγω qui signifie vivre avec quelqu'un. Le terme latin subintroductae est aussi utilisé pour désigner ces mêmes personnes, ainsi que les expressions mulierum consortia, ou encore agapetae
Source : Wikipedia
Il ne s’agit donc pas d’un terme scientifique ou médical, mais religieux / spirituel.
Les sources médicales que nous avons consultées emploient des termes issus d’un vocabulaire non spécifique : abstinence sexuelle, continence, chasteté.
(Voir à titre d’exemple : Santé Canada)
Nous trouvons un certain nombre de synonymes de « continence » sur le site du Cnrtl, qui appartiennent plutôt au vocabulaire religieux, moral, ou philosophique.
L’expérience singulière de Mahatma Gandhi que vous évoquez est relatée par l’historien britannique Jad Adams dans son ouvrage paru en 2010 : Gandhi : ambition nue.
« A l'âge de 38 ans, en 1906, il prononce unbrahmacharya, terme sanskrit qui désigne un voeu d'ascèse [et qui correspond à l'une des quatre périodes de la vie humaine telle que la théorise l'hindouisme] et qui, dans les faits, équivaut à un voeu de chasteté .
Le Mahatma accepte sans difficulté la pauvreté mais a plus de mal avec l'abstinence sexuelle. Il élabore donc une série de règles complexes, qui lui permettent de se dire chaste tout en ayant des conversations, des correspondances et des comportements érotiques. Avec le zèle du converti, un an après son voeu, il déclare aux lecteurs de son journal Indian Opinion [fondé en 1903] : "Il est du devoir de tout Indien sérieux de ne pas se marier. Au cas où il ne pourrait pas faire autrement, il doit s'abstenir de tout rapport sexuel avec son épouse."
Pendant ce temps, Gandhi met son abstinence à l'épreuve d'une manière singulière. Il ouvre des ¬ashrams [centres de retraite spirituelle] où il mène ses premières "expériences" sexuelles. Les garçons et les filles se baignent et dorment ensemble, chastement, mais sont punis s'ils parlent de sexe. Hommes et femmes vivent séparément, et Gandhi recommande aux hommes de ne jamais rester seuls avec leur épouse, et de prendre un bain d'eau froide lorsqu'ils sentent monter le désir. Mais ces règles ne s'appliquent pas à lui-même. La séduisante Sushila Nayar, qui est la soeur de son secrétaire et aussi son médecin personnel, connaît Gandhi depuis sa jeunesse. Elle se baigne et dort avec lui. Lorsqu'on le critique, il explique qu'il veille à ce que l'honneur soit sauf. "Lorsqu'elle prend un bain, je garde les yeux bien fermés. Je ne sais pas si elle se baigne nue ou en sous-vêtements. Je devine, au bruit, qu'elle utilise du savon." De tels moments d'intimité, faveur dont seul Gandhi bénéficie au sein de l'ashram, reflètent bien sa situation privilégiée et suscitent de la jalousie chez les pensionnaires.
A mesure que Gandhi vieillit (et après le décès de son épouse Kasturba), il s'entoure d'un plus grand nombre de femmes et en oblige certaines à dormir avec lui, ce qu'elles ne peuvent pas faire avec leur époux, en vertu des règles qu'il a instaurées dans l'ashram. Il partage sa couche avec des femmes afin de mener des "expériences" qui, à en croire ses lettres, consistent en des exercices de strip-tease et autres activités sexuelles sans contact physique. Beaucoup de documents qui attestaient clairement de ces pratiques ont été détruits, mais on trouve dans les lettres de Gandhi des annotations telles que celle-ci : "Le fait que Vina ait partagé ma couche pourrait être qualifié ¬d'accident. Tout ce que l'on peut dire, c'est qu'elle a dormi près de moi." On peut donc supposer que participer à l'expérience gandhienne signifiait un peu plus que dormir près de lui. […]
Ce comportement ne fait pas partie des pratiques usuelles du brahmacharya . Mais, à cette époque, Gandhi redéfinit le brahmachari [celui qui pratique le brahmacharya] comme "celui qui n'a jamais la moindre intention lascive, celui qui, par l'écoute constante de Dieu, est à l'abri des émissions conscientes ou inconscientes, celui qui est capable de s'allonger nu aux côtés de femmes nues, pour magnifiques qu'elles soient, sans être en aucune façon excité sexuellement, [...] celui qui progresse quotidiennement et régulièrement vers Dieu et dont chaque acte est effectué en vue de parvenir à cette fin et aucune autre." Autrement dit, le brahmachari peut faire ce que bon lui semble, du moment qu'il n'y a pas d'"intention lascive" évidente. Gandhi redéfinit ainsi le concept de chasteté pour le faire correspondre à ses pratiques personnelles. »
Source : Dans l'intimité de gandhi, la vie sexuelle d'une icône, Courrier international • no. 1022 • p. 42, jeudi 3 juin 2010 (consulté via Europresse)
« Ces derniers jours, voilà qu'on reparle de Manu. L'hebdomadaire India Today vient de publier des extraits de ses carnets, acquis seulement en 2010 d'une source familiale par les Archives nationales. Manu, de son vrai nom Mridula Gandhi, était la fille d'un neveu du Mahatma (« Grande âme »). Il l'avait appelée à ses côtés treize mois plus tôt, en décembre 1946, pour l'aider dans ses tâches quotidiennes à l'heure où le naufrage de l'empire britannique des Indes allumait les feux de la haine entre hindous et musulmans. La jeune fille avait alors 17 ans. Il en avait soixante de plus. Autour d'eux flottait comme un parfum de souffre.
C'est qu'elle dormait nue à ses côtés. Tel était le souhait du grand homme. Comme d'autres assistantes avant elle, Manu était un objet d'expérience. « Bapu » voulait tester en leur présence nocturne et dévêtue sa résistance au désir. Elles étaient l'instrument de l'épreuve à laquelle il se soumettait : la rigoureuse observance des voeux de chasteté qu'il avait prononcés dès 1906 en Afrique du Sud - après avoir eu quatre enfants de son épouse Kasturba - dans la tradition hindoue du brahmacharya.
Farouches inimitiés
Les jeunes femmes remplissaient aussi d'autres fonctions. Elles lui faisaient prendre son bain et le massaient à l'huile de moutarde mêlée de jus de citron. Il ne se passait jamais rien de plus, en tout cas selon les témoignages les plus sérieux. L'« expérience » - mot-clé de la doctrine gandhienne - fortifiait le Mahatma dans sa quête obsessionnelle de l'auto-purification. S'il pouvait triompher des démons de la chair, alors il pouvait bien abattre un empire. »
Source : Gandhi, la chasteté et les femmes, Le Monde, 22 juin 2013 (consulté via Europresse)
« Adams explique que le nombre d'écrits du Mahatma sur le sexe est sidérant. Ce n'est qu'en 1900 qu'il décide de faire voeu de chasteté - il a alors 31 ans. Mais dans son livre, Adams parle de Gandhi comme d'un homme ayant souvent partagé son lit avec un ou plusieurs disciples, de bains avec des jeunes femmes nubiles ou de massages nus. Rien ne prouve qu'il ait brisé son voeu de chasteté, mais il en entretenait une idée personnelle.
« Mon interprétation est qu'il attendait de ces femmes qu'elles tentent de le stimuler sexuellement, pour qu'il puisse démontrer sa résistance », ajoute le biographe. Après tout, il considérait que de ne pas éjaculer était une source d'énergie spirituelle.
Dans tous les cas, Jad ne souhaite pas jeter l'opprobre sur le Mahatma. En dévoilant ce pan sexuel de sa vie, il ne porte pas de jugement négatif sur la sexualité, ni la sienne, ni celle de quiconque. Simplement tous ces détails ont été soigneusement passés sous silence après son assassinat en 1948. »
Source : La vie sexuelle de Gandhi, méconnue et dissimulée, Actualitté
« Le but qu'il poursuivait lors de ces siestes semi-crapuleuses n'était pas sexuel. Ou du moins le jurait-il : l'idée était de mettre son vœu à l'épreuve de son appétit libidinal. « Il voulait voir si le sexe pouvait être contrôlé, explique Jad Adams, parce qu'il en sentait le pouvoir. » Gandhi était un drôle de personnage. Ses nombreux écrits sont truffés de considérations sur le sexe, sur les bains froids qu'il faut prendre pour résister à la tentation, ou sur la signification de ses fréquentes éjaculations nocturnes. Nehru se moquait de lui parce qu'il conservait son sperme, qu'il voyait comme une source d'énergie spirituelle. Pourtant, malgré cette obsession, il ne songea jamais à rompre son vœu. Ni avec sa femme Kasturba, l'épouse dévouée qui ne savait pas lire ; ni même avec Sarala Devi, la poétesse dont il tomba éperdument amoureux à 50 ans et qu'il dut quitter pour conserver son image auprès du petit peuple.
L'essai de Jad Adams n'apporte rien de vraiment nouveau. Il permet toutefois de rappeler qu'il ne faut pas confondre les grandes figures de l'Histoire avec l'image qu'ils tentent de laisser à la postérité. Les bizarreries de Gandhi lui ont valu bien des ennuis politiques. Son mysticisme a exaspéré beaucoup de monde, depuis le clan Nehru jusqu'à ses collègues chefs d'Etat. Winston Churchill l'appelait ainsi « le fakir à demi-nu ». Il disait sans doute « à demi-nu » parce qu'il n'avait pas dormi avec lui dans son ashram aux mille plaisirs. »
Source : Gandhi, le sex-gourou, nouvelobs.com
Bonne journée.
Au terme de notre recherche, nous pensons que le terme que vous recherchez peut être syneisaktisme, une « forme d'
Étymologie et synonymes
Le terme de syneisaktisme
Source : Wikipedia
Il ne s’agit donc pas d’un terme scientifique ou médical, mais religieux / spirituel.
Les sources médicales que nous avons consultées emploient des termes issus d’un vocabulaire non spécifique : abstinence sexuelle, continence, chasteté.
(Voir à titre d’exemple : Santé Canada)
Nous trouvons un certain nombre de synonymes de « continence » sur le site du Cnrtl, qui appartiennent plutôt au vocabulaire religieux, moral, ou philosophique.
L’expérience singulière de Mahatma Gandhi que vous évoquez est relatée par l’historien britannique Jad Adams dans son ouvrage paru en 2010 : Gandhi : ambition nue.
« A l'âge de 38 ans, en 1906, il prononce un
Le Mahatma accepte sans difficulté la pauvreté mais a plus de mal avec l'abstinence sexuelle. Il élabore donc une série de règles complexes, qui lui permettent de se dire chaste tout en ayant des conversations, des correspondances et des comportements érotiques. Avec le zèle du converti, un an après son voeu, il déclare aux lecteurs de son journal Indian Opinion [fondé en 1903] : "Il est du devoir de tout Indien sérieux de ne pas se marier. Au cas où il ne pourrait pas faire autrement, il doit s'abstenir de tout rapport sexuel avec son épouse."
Pendant ce temps, Gandhi met son abstinence à l'épreuve d'une manière singulière. Il ouvre des ¬ashrams [centres de retraite spirituelle] où il mène ses premières "expériences" sexuelles. Les garçons et les filles se baignent et dorment ensemble, chastement, mais sont punis s'ils parlent de sexe. Hommes et femmes vivent séparément, et Gandhi recommande aux hommes de ne jamais rester seuls avec leur épouse, et de prendre un bain d'eau froide lorsqu'ils sentent monter le désir. Mais ces règles ne s'appliquent pas à lui-même. La séduisante Sushila Nayar, qui est la soeur de son secrétaire et aussi son médecin personnel, connaît Gandhi depuis sa jeunesse. Elle se baigne et dort avec lui. Lorsqu'on le critique, il explique qu'il veille à ce que l'honneur soit sauf. "Lorsqu'elle prend un bain, je garde les yeux bien fermés. Je ne sais pas si elle se baigne nue ou en sous-vêtements. Je devine, au bruit, qu'elle utilise du savon." De tels moments d'intimité, faveur dont seul Gandhi bénéficie au sein de l'ashram, reflètent bien sa situation privilégiée et suscitent de la jalousie chez les pensionnaires.
A mesure que Gandhi vieillit (et après le décès de son épouse Kasturba), il s'entoure d'un plus grand nombre de femmes et en oblige certaines à dormir avec lui, ce qu'elles ne peuvent pas faire avec leur époux, en vertu des règles qu'il a instaurées dans l'ashram. Il partage sa couche avec des femmes afin de mener des "expériences" qui, à en croire ses lettres, consistent en des exercices de strip-tease et autres activités sexuelles sans contact physique. Beaucoup de documents qui attestaient clairement de ces pratiques ont été détruits, mais on trouve dans les lettres de Gandhi des annotations telles que celle-ci : "Le fait que Vina ait partagé ma couche pourrait être qualifié ¬d'accident. Tout ce que l'on peut dire, c'est qu'elle a dormi près de moi." On peut donc supposer que participer à l'expérience gandhienne signifiait un peu plus que dormir près de lui. […]
Source : Dans l'intimité de gandhi, la vie sexuelle d'une icône, Courrier international • no. 1022 • p. 42, jeudi 3 juin 2010 (consulté via Europresse)
« Ces derniers jours, voilà qu'on reparle de Manu. L'hebdomadaire India Today vient de publier des extraits de ses carnets, acquis seulement en 2010 d'une source familiale par les Archives nationales. Manu, de son vrai nom Mridula Gandhi, était la fille d'un neveu du Mahatma (« Grande âme »). Il l'avait appelée à ses côtés treize mois plus tôt, en décembre 1946, pour l'aider dans ses tâches quotidiennes à l'heure où le naufrage de l'empire britannique des Indes allumait les feux de la haine entre hindous et musulmans. La jeune fille avait alors 17 ans. Il en avait soixante de plus. Autour d'eux flottait comme un parfum de souffre.
C'est qu'elle dormait nue à ses côtés. Tel était le souhait du grand homme. Comme d'autres assistantes avant elle, Manu était un objet d'expérience. « Bapu » voulait tester en leur présence nocturne et dévêtue sa résistance au désir. Elles étaient l'instrument de l'épreuve à laquelle il se soumettait : la rigoureuse observance des voeux de chasteté qu'il avait prononcés dès 1906 en Afrique du Sud - après avoir eu quatre enfants de son épouse Kasturba - dans la tradition hindoue du brahmacharya.
Farouches inimitiés
Les jeunes femmes remplissaient aussi d'autres fonctions. Elles lui faisaient prendre son bain et le massaient à l'huile de moutarde mêlée de jus de citron. Il ne se passait jamais rien de plus, en tout cas selon les témoignages les plus sérieux. L'« expérience » - mot-clé de la doctrine gandhienne - fortifiait le Mahatma dans sa quête obsessionnelle de l'auto-purification. S'il pouvait triompher des démons de la chair, alors il pouvait bien abattre un empire. »
Source : Gandhi, la chasteté et les femmes, Le Monde, 22 juin 2013 (consulté via Europresse)
« Adams explique que le nombre d'écrits du Mahatma sur le sexe est sidérant. Ce n'est qu'en 1900 qu'il décide de faire voeu de chasteté - il a alors 31 ans. Mais dans son livre, Adams parle de Gandhi comme d'un homme ayant souvent partagé son lit avec un ou plusieurs disciples, de bains avec des jeunes femmes nubiles ou de massages nus. Rien ne prouve qu'il ait brisé son voeu de chasteté, mais il en entretenait une idée personnelle.
« Mon interprétation est qu'il attendait de ces femmes qu'elles tentent de le stimuler sexuellement, pour qu'il puisse démontrer sa résistance », ajoute le biographe. Après tout, il considérait que de ne pas éjaculer était une source d'énergie spirituelle.
Dans tous les cas, Jad ne souhaite pas jeter l'opprobre sur le Mahatma. En dévoilant ce pan sexuel de sa vie, il ne porte pas de jugement négatif sur la sexualité, ni la sienne, ni celle de quiconque. Simplement tous ces détails ont été soigneusement passés sous silence après son assassinat en 1948. »
Source : La vie sexuelle de Gandhi, méconnue et dissimulée, Actualitté
« Le but qu'il poursuivait lors de ces siestes semi-crapuleuses n'était pas sexuel. Ou du moins le jurait-il : l'idée était de mettre son vœu à l'épreuve de son appétit libidinal. « Il voulait voir si le sexe pouvait être contrôlé, explique Jad Adams, parce qu'il en sentait le pouvoir. » Gandhi était un drôle de personnage. Ses nombreux écrits sont truffés de considérations sur le sexe, sur les bains froids qu'il faut prendre pour résister à la tentation, ou sur la signification de ses fréquentes éjaculations nocturnes. Nehru se moquait de lui parce qu'il conservait son sperme, qu'il voyait comme une source d'énergie spirituelle. Pourtant, malgré cette obsession, il ne songea jamais à rompre son vœu. Ni avec sa femme Kasturba, l'épouse dévouée qui ne savait pas lire ; ni même avec Sarala Devi, la poétesse dont il tomba éperdument amoureux à 50 ans et qu'il dut quitter pour conserver son image auprès du petit peuple.
L'essai de Jad Adams n'apporte rien de vraiment nouveau. Il permet toutefois de rappeler qu'il ne faut pas confondre les grandes figures de l'Histoire avec l'image qu'ils tentent de laisser à la postérité. Les bizarreries de Gandhi lui ont valu bien des ennuis politiques. Son mysticisme a exaspéré beaucoup de monde, depuis le clan Nehru jusqu'à ses collègues chefs d'Etat. Winston Churchill l'appelait ainsi « le fakir à demi-nu ». Il disait sans doute « à demi-nu » parce qu'il n'avait pas dormi avec lui dans son ashram aux mille plaisirs. »
Source : Gandhi, le sex-gourou, nouvelobs.com
Bonne journée.
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