MAINS DANS LES POCHES.
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 01/04/2017 à 16h10
8410 vues
Question d'origine :
s.v.p.
Comment font les naturistes, nudistes et autres habitants des tribus primitives, à l'écart de nos civilisations, vivant habituellement, totalement ou quasiment nus, lorsqu'ils veulent mettre leurs mains dans leurs poches ?
Réponse du Guichet
gds_et
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 04/04/2017 à 13h32
Bonjour,
De manière générale, l’envie de mettre nos mains dans nos poches nous vient pour certaines raisons : protéger nos mains du froid, nous donner une contenance, nous concentrer, ou bien adresser un message non verbal à nos interlocuteurs, qui, selon le contexte, peut exprimer la fuite ou l’apaisement :
« Les poches sont un facteur d’équilibre affectif important pour l’homme debout. Elles renforcent l’équilibre du corps. Le fait de cacher ses mains dans ses poches en public abaisse également le taux d’agressivité du sujet observé et peut lui éviter d’exciter l’agressivité de ses contemporains. Ce type de dissimulation est perçu par l’entourage comme un geste d’apaisement. […]
Nous dissimulons tous nos mains dans nos poches à l’occasion, soit parce qu’il fait froid dehors, soit parce que nous percevons une agressivité verbale dans le discours de nos interlocuteurs, soit parce que nous ressentons un malaise, soit, encore et toujours, pour nous donner une contenance face à un partenaire éventuel. Les poches sont un refuge et/ou un outil de rééquilibrage psychologique et comportemental. Mais c’est aussi une manière de se cacher des autres sans avoir besoin de les fuir.
Les poches antistress
La main que l’on glisse subrepticement dans sa poche vaut la cigarette qu’on glisse entre ses lèvres pour se donner une contenance. Les poches sont des refuges antistress qui permettent de prendre un certain recul face à une situation de tension. Mais les poches sont aussi très utiles quand il faut faire un effort de concentration intellectuelle. »
Source : Ces gestes qui vous trahissent, Joseph Messinger
Le réflexe de mettre ses mains dans ses poches vient aussi (et surtout !) d’une certaine habitude. Nous pouvons donc supposer qu’une personne habituée à ne pas avoir de poches ressentira moins, voire jamais, l’envie de ce geste, de la même manière qu’une personne qui ne fume pas ou très peu ne ressent pas le besoin de tenir une cigarette entre ses doigts quand elle se sent nerveuse.
Bonne journée.
De manière générale, l’envie de mettre nos mains dans nos poches nous vient pour certaines raisons : protéger nos mains du froid, nous donner une contenance, nous concentrer, ou bien adresser un message non verbal à nos interlocuteurs, qui, selon le contexte, peut exprimer la fuite ou l’apaisement :
« Les poches sont un facteur d’équilibre affectif important pour l’homme debout. Elles renforcent l’équilibre du corps. Le fait de cacher ses mains dans ses poches en public abaisse également le taux d’agressivité du sujet observé et peut lui éviter d’exciter l’agressivité de ses contemporains. Ce type de dissimulation est perçu par l’entourage comme un geste d’apaisement. […]
Nous dissimulons tous nos mains dans nos poches à l’occasion, soit parce qu’il fait froid dehors, soit parce que nous percevons une agressivité verbale dans le discours de nos interlocuteurs, soit parce que nous ressentons un malaise, soit, encore et toujours, pour nous donner une contenance face à un partenaire éventuel. Les poches sont un refuge et/ou un outil de rééquilibrage psychologique et comportemental. Mais c’est aussi une manière de se cacher des autres sans avoir besoin de les fuir.
Les poches antistress
La main que l’on glisse subrepticement dans sa poche vaut la cigarette qu’on glisse entre ses lèvres pour se donner une contenance. Les poches sont des refuges antistress qui permettent de prendre un certain recul face à une situation de tension. Mais les poches sont aussi très utiles quand il faut faire un effort de concentration intellectuelle. »
Source : Ces gestes qui vous trahissent, Joseph Messinger
Le réflexe de mettre ses mains dans ses poches vient aussi (et surtout !) d’une certaine habitude. Nous pouvons donc supposer qu’une personne habituée à ne pas avoir de poches ressentira moins, voire jamais, l’envie de ce geste, de la même manière qu’une personne qui ne fume pas ou très peu ne ressent pas le besoin de tenir une cigarette entre ses doigts quand elle se sent nerveuse.
Bonne journée.
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