Question d'origine :
Bonjour Cher Guichet,
Il ėtait dans les années 1970 de pratique courante dans l'infanterie de citer le pourcentage de 7 % pour estimer en quelque sorte le taux de pertes acceptable...
Ce pourcentage repose t-il sur une notion éprouvée par l'expérience ?
Réponse du Guichet
gds_se
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 15/12/2014 à 16h08
Bonjour,
Ce pourcentage de 7% de pertes acceptables ou tolérées relève plus du mythe ou de la légende urbaine que d’une vérité fondée sur l’expérience :
Elle rejoint le mythe des 7% de pertes tolérées à l'instruction des recrues. A force de le répéter on en fait une vérité.
(Source : Les bataillons disciplinaire durant la guerre d’Algérie / Passion Histoire)
Enfin, il y a un autre bobard: celui des 7% de pertes tolérées au cours des exercices . Celle là est certainement celle qui a la peau la plus dure. Si bien qu'au moment de l'agitation des "comités de soldats" la presse le présentait comme une vérité. Le commandement pour se défendre a cherché dans les circulaires, les réglements, a demandé le concours du Service historique et on n'a rien trouvé, bien sûr.
(Source : Les bromurés / Passion Histoire)
et que dire des 7% de pertes ? Qui n'ont jamais été fondés non plus !
(Source : Les légendes de l’Armée de Terre / Au Militaire)
Nous n’avons pas réellement trouvé l’origine de cette légende et ne pouvons donc pas vous expliquer ce chiffre de 7%. Même si quelques explications sont données en ligne :
7% de pertes c'est pas ce qui était autorisé en manoeuvre sur les appelés fut un temps. […]
Nan
C'est une des nombreuses légendes urbaines qu'ont entendus les appelés faisant leur service
Probablement un mélange avec le taux de pertes (d'étuis) autorisé sur champ de tir (parceque ramener 100% des douilles à moins de passer le champ au peigne fin )
(Source : Soldes, retraites et Louvois … / Air-Défense)
Bonne journée
Ce pourcentage de 7% de pertes acceptables ou tolérées relève plus du mythe ou de la légende urbaine que d’une vérité fondée sur l’expérience :
Elle rejoint le mythe des 7% de pertes tolérées à l'instruction des recrues. A force de le répéter on en fait une vérité.
(Source : Les bataillons disciplinaire durant la guerre d’Algérie / Passion Histoire)
Enfin, il y a un autre bobard: celui des 7% de pertes tolérées au cours des exercices . Celle là est certainement celle qui a la peau la plus dure. Si bien qu'au moment de l'agitation des "comités de soldats" la presse le présentait comme une vérité. Le commandement pour se défendre a cherché dans les circulaires, les réglements, a demandé le concours du Service historique et on n'a rien trouvé, bien sûr.
(Source : Les bromurés / Passion Histoire)
et que dire des 7% de pertes ? Qui n'ont jamais été fondés non plus !
(Source : Les légendes de l’Armée de Terre / Au Militaire)
Nous n’avons pas réellement trouvé l’origine de cette légende et ne pouvons donc pas vous expliquer ce chiffre de 7%. Même si quelques explications sont données en ligne :
7% de pertes c'est pas ce qui était autorisé en manoeuvre sur les appelés fut un temps. […]
Nan
C'est une des nombreuses légendes urbaines qu'ont entendus les appelés faisant leur service
Probablement un mélange avec le taux de pertes (d'étuis) autorisé sur champ de tir (parceque ramener 100% des douilles à moins de passer le champ au peigne fin )
(Source : Soldes, retraites et Louvois … / Air-Défense)
Bonne journée
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