Question d'origine :
Le sida, la contamination. Il y a les malades, on ne savait pas le mode de transmission, il y a eu le scandale du sang contaminé, ses victimes sont toujours en vie mais sous traitement, elles méritent notre respect, je suis tout à fait d'accord.
Mais à l'heure actuelle, en France, je trouve honteux qu'on puisse attraper le sida. La maladie n'est pas honteuse mais se faire contaminer me semble honteux. Surtout quand on sait le prix d'une trithérapie préventive même si elle est prise en charge à 100% par la Sécu.
L'information est partout, la prévention est partout, le moindre ami censé est toujours un premier relais de prévention (c'est déjà mieux que rien) on sait où obtenir dans la seconde de la prévention/un dépistage rapide en cas de prise de risque (consultation des sites web de prévention sur n'importe quel smartphone ou en deux coups de téléphone, renseignements téléphoniques puis urgences hospitalières).
A mes yeux, attraper le sida dans un rapport sexuel consenti aujourd'hui en France est une attitude inadmissible d'irresponsabilité et égoïste que l'on fait porter à la société vu les années de prévention que nous avons derrière nous.
Alors on m'objectera qu'il peut y avoir de la contamination parce que le préservatif a craqué pendant l'acte sexuel. Ok. D'où ma question: Sur l'ensemble des contaminations par le virus du VIH, quelle est la proportion de contaminations dues à un accident de préservatif ?
Existe-t-il encore des cas de contamination par voie sanguine dans des établissements de santé reconnus par l'administration ?
Réponse du Guichet
bml_san
- Département : Médiathèque du Bachut Santé
Le 02/07/2013 à 12h24
Bonjour,
Dans un premier temps, nous vous renvoyons à la lecture de la page très complète proposée par l’
Vous pouvez aussi consulter la page, elle aussi très complète, proposée par l’
Par ailleurs, le site de l’
Malgré tout, nous n’avons trouvé aucune trace de statistiques comptabilisant le nombre de transmission du virus après un accident de préservatif.
En revanche, et pour répondre à votre seconde question, le site de l’
Enfin, nous ne pouvons que vous conseiller :
- la consultation du site Sida-Info Service
- la lecture d’un article du figaro titrant «
Cordialement,
L’équipe Cap’Culture Santé.
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