Question d'origine :
bonjour à tous,
je viens de terminer le livre extravagant mais prenant de " l'apothicaire" fort bien documenté sur le paris médiéval. Cependant, je me pose une question dont je n'ai pas trouvé la réponse: il dit qu'au quatorzième suecle, la rue saint dénis ( rue importante) était celle des apothicaires . Savez-vous si cela est vrai ?
merci
Réponse du Guichet
bml_civ
- Département : Civilisation
Le 06/02/2016 à 16h21
Bonjour,
Un petit rappel historique sur la rue Saint-Denis :
Wikipédia
La rue Saint-Denis est l'une des plus anciennes rues de Paris : son axe est tracé dès le Ier siècle par les Romains. Elle s'étend vers le nord au Moyen Âge.
Elle s'étend (depuis le 1er arrondissement) de la rue de Rivoli au sud, jusqu'au (dans le 2e arrondissement) boulevard Saint-Denis au nord. Elle est parallèle au boulevard de Sébastopol et à la rue Saint-Martin.
Ancienne voie romaine conduisant à Saint-Denis, Pontoise et Rouen, concurrente de la route de Flandre (voir rue Saint-Martin) sur qui elle eut l'avantage en raison du déplacement du Grand Pont (voir pont au Change) et du développement de l'abbaye royale de Saint-Denis.
Bordée de maisons dès 1134,elle a porté les noms de la Sellerie de Paris et de la Sellerie de la Grande Rue (XIIIe siècle) ; grand'rue de Paris ; grande rue ou rue des Saints Innocents et grant chaussée de Monsieur ou grant chaussée de Monseigneur Saint-Denis (XIVe siècle). Elle a été aussi la première rue de Paris à être pavée. Ayant pris l'avantage sur la rue Saint-Martin, cette rue a été bordée de centres religieux, dont la plupart ont été détruits, comme le Saint-Sépulcre, Saint-Magloire, le cloître Sainte-Opportune ou les Saints-Innocents. C'était la voie triomphale des entrées royales dans la capitale
Pendant la Révolution française, on l'appelait rue de Franciade.
La Poste aux chevaux lui conserve son rôle de voie essentielle aux grands voyages, puisque le seul relais installé dans Paris l’est rue Saint-Denis, à l’hôtel du Grand Cerf1. C’est donc par la rue Saint-Denis que de nombreux voyageurs, arrivant à Paris par les voitures de poste, découvrent la capitale.
Origine du nom
Ancienne route de Saint-Denis, elle est nommée en l'honneur de Denis de Paris.
Bâtiments remarquables
• A l'angle no 20 et no 33bis rue des Lombards se situait l'hôpital Sainte-Catherine
• no 60 (angle de la rue de la Cossonnerie) : Vestige de la Cour Batave, ensemble d'immeubles construits pour des spéculateurs néerlandais par Jean-Nicolas Sobre et Célestin-Joseph Happe en 1790, l'un des premiers exemples de cité privée à Paris.
• no 82: Emplacement de l'Abbaye Saint-Magloire de Paris des environs de 1150 à 1572 et qui s'installèrent à Église Saint-Jacques-du-Haut-Pas, rue Saint-Jacques.
• no 92 : Église Saint-Leu-Saint-Gilles
• nos 110-112-135 : Emplacement de la porte aux Peintres également appelée porte Saint-Denis de l'enceinte de Philippe Auguste, aujourd'hui détruite.
• no 142 (angle de la rue Greneta) : Maison construite en 1732 par Jacques-Richard Cochois pour Claude Aubry. Lui est adossée la fontaine Greneta, refaite en même temps que la maison, mais qui remonte au moins à 1502.
• nos 142-164 no 28 rue Greneta : Ancien hôpital de la Trinité fondé au XIIe siècle sous le nom de hôpital de la Croix-de-la-Reine pour héberger les voyageurs arrivés après la fermeture des portes de l'enceinte de Philippe-Auguste3,4.
• no 146 : Emplacement de la cour des Bleus, ouverte en 1817 au travers de l'hôpital de la Trinité et qui débouchait au no 15 rue de Palestro.
• Angle Est rue Saint-Denis et Nord rue Greneta : Fontaine de la Reine
• Actuel no 151 (ancien 243) : Léon Blum y est né.
• nos 164-176 : Emplacement du cimetière de la Trinité
• nos 224-226 : Maison des Dames de Saint-Chaumont (Couvent des Filles de l'Union chrétienne), établie en 1685 dans un hôtel de Saint-Chaumond dont il ne reste rien mais qui a laissé son nom à la communauté. Les religieuses ont fait construire en 1734-1735 dans leur jardin, par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, petit-fils de Jules Hardouin-Mansart, un logis pour les dames de la bonne société souhaitant se retirer du monde, qui a été conservé (seulement surélevé). Bâtiment de qualité exceptionnelle, décoré par le grand ornemaniste rocaille Nicolas Pineau, il témoigne, par son plan en courbes et contre-courbes, des influences de l'architecte italien Borromini sur l'architecture rocaille parisienne de la première moitié du XVIIIe siècle. C'est le seul témoignage conservé des grands établissements pieux ou charitables construits le long de la rue Saint-Denis. L'entrée se trouvait originellement du côté de la rue Saint-Denis et un jardin s'étendait entre le logis et l'immeuble haussmannien du 131 boulevard de Sébastopol. À l'angle de la rue de Tracy, se trouvait l'église conventuelle, construite en 1782 par Pierre Convers dans le style antique (aujourd'hui détruite).
• no 266 : Emplacement de l'église de la Trinité3.
• Au bout de la rue Saint-Denis, au carrefour avec les grands boulevards, se trouve la porte Saint-Denis.
Consultons ensuite Histoire et dictionnaire de Paris aux entrées :
Pharmacie, pharmacien :
Attestés dans le « livre des métiers » du prévôt Etienne Boileau en 1269, les apothicaires n ‘apparaissent pas dans le livre de la taille de 1292, car ils font partie de la corporation des épiciers . L’ordonnance d’aoùt 1484 ne sépare pas les deux professions mais exige de tout épicier désirant être apothicaire qu’il ait servi durant quatre ans comme apprenti et ai passé un examen pour « estre approuvé audit mestier » alors que tout apothicaire peut-être épicier l’ordonnance du 5 juin 1514 va plus loin et interdit l’apothicairerie aux épiciers. Les deux professions continuent à cohabiter dans la même corporation mais possèdent des jurés distincts…Il faut attendre 1777 pour que les apothicaires soient séparés des épiciers, et constituent une corporation indépendante pouvant prétendre au titre de collège de pharmacie…
A l’entrée nom de rue ;
Outre des références isolés, c’est par les rôle de la taille établis entre 1292 et 1313 que l’on connaît les rus de paris, ainsi que par un poème écrit vers 1300 par Guillot « le dit des rues de paris.
Manfred Heid a distingué 9 types de nom de rues au Moyen Age ; en premier viennent les rues qui tirent leur nom d’un particulier ou d’une famille…
D’autres voies tirent leur nom d’un édifice de culte …subsistent les rues Saint- Antoine, Saint Denis
D’autres noms évoquent la présence d’un métier, d’on commerce…la plupart de ces dénominations ont disparu avec la mort des métiers ou leur dispersion à travers la cité…enlumineurs , écrivains…Survivent les rues de la Ferronnerie, des Tuileries…
Un quatrième type tire ses dénominations d’un groupe particulier d’habitant (rue des Bernardins, des Prêcheurs..
Certaines rues tirent leur dénomination de quelque particularité établie à demeure à cet endroit…L’installation d’un bac sur la Seine en 1580 entraîne le nom de la rue du Bac…
Un sixième typa a emprunté la dénomination du lieu traversée par la rue ou du lieu ou elle aboutit…
Quelques rus tirent leur nom d’une caractéristique extérieure à la voie elle même ( la rue Pavée…
L’existence d’enseignes de maisons ou de commerces.
Les enseignes étant rares vers 1300, il faut attendre les XVe et XVIe siècles pour que cette catégorie connaisse le succès, atteignant 10% de la nomenclature entre 1450 et 1555…
Certaines rues tirent leur nom de leur mauvaise fréquentation (trace-Putain…
jusqu’à la fin du XVIe, la topographie parisienne est gouvernée par la coutume…
La consultation des ouvrages qui suivent n’a pas été plus fructueuse :
Le Paris du Moyen Age
Construction et transformation d’une capitale, Paris au Moyen Age
Une rubrique y est pourtant consacrée à la rue Saint –Denis : sous Philippe Auguste ; elle est pavée et très commerçante, mais pas de détails sur les échoppes.
Poursuivons avec le Dictionnaire historique des rues de Paris :
Mêmes renseignements que sur wikipédia mais infiniment détaillés :
La rue Saint-Denis a été la voie triomphale suivie par les souverains jusqu’à Notre-Dame lors de leur entrée solennelle dans leur bonne ville de paris, d’où son autre qualificatif de voie Royale ; une entrée solennelle donnait lieu à de très grandes fêtes, demandant plusieurs semaines de préparatifs, qui attiraient dans la capitale une affluence considérable. Des arcs de triomphe étaient érigés le long du parcours, du vin et du lait coulait des fontaines publiques, des mystères étaient joués aux principaux carrefours ; Citons parmi ces entrées solennelles, celles de Philippe de Valois (1328), jean le bon (1350)., Charles V (1360), Charles VI (1380)…
C’est aussi que par la rue Saint-Denis que les reines de France faisaient leur entrée solennelle dans paris, telle Isabeau de Bavière ;;;Elle fut aussi le chemin par lequel les dépouilles mortelles des rois et reines de France étaient conduites de notre dame à la basilique de Saint-Denis pour y être inhumées
Cette rue, souvent élargie, souvent rectifiée ,a été, jusqu’à l’ouverture du Bd de Sébastopol, l’âme et le cœur de paris, du fait du voisinage des halles et de la Prévôté (Châtelet) ; elle fut de tout temps une rue très commerçante et très populeuse… suivent des renseignements sur l’hôpital des pauvres de sainte-opportune, La croix des Gastines, le cimetière des Innocents etc. (10 pages d’explications détaillées sur des églises , des hôtels et maisons disparus ou non.
Terminons en dernier recours par une édition de 1779 du Dictionnaire historique de la ville de paris er de ses environs :
Des renseignements identiques, mais aucune anecdote concernant les échoppes d’épiciers-apothicaires
La spécificité de la rue Saint-Denis semble donc sortie de l’imagination du romancier
Un petit rappel historique sur la rue Saint-Denis :
Wikipédia
La rue Saint-Denis est l'une des plus anciennes rues de Paris : son axe est tracé dès le Ier siècle par les Romains. Elle s'étend vers le nord au Moyen Âge.
Elle s'étend (depuis le 1er arrondissement) de la rue de Rivoli au sud, jusqu'au (dans le 2e arrondissement) boulevard Saint-Denis au nord. Elle est parallèle au boulevard de Sébastopol et à la rue Saint-Martin.
Ancienne voie romaine conduisant à Saint-Denis, Pontoise et Rouen, concurrente de la route de Flandre (voir rue Saint-Martin) sur qui elle eut l'avantage en raison du déplacement du Grand Pont (voir pont au Change) et du développement de l'abbaye royale de Saint-Denis.
Bordée de maisons dès 1134,
Pendant la Révolution française, on l'appelait rue de Franciade.
La Poste aux chevaux lui conserve son rôle de voie essentielle aux grands voyages, puisque le seul relais installé dans Paris l’est rue Saint-Denis, à l’hôtel du Grand Cerf1. C’est donc par la rue Saint-Denis que de nombreux voyageurs, arrivant à Paris par les voitures de poste, découvrent la capitale.
Origine du nom
Ancienne route de Saint-Denis, elle est nommée en l'honneur de Denis de Paris.
Bâtiments remarquables
• A l'angle no 20 et no 33bis rue des Lombards se situait l'hôpital Sainte-Catherine
• no 60 (angle de la rue de la Cossonnerie) : Vestige de la Cour Batave, ensemble d'immeubles construits pour des spéculateurs néerlandais par Jean-Nicolas Sobre et Célestin-Joseph Happe en 1790, l'un des premiers exemples de cité privée à Paris.
• no 82: Emplacement de l'Abbaye Saint-Magloire de Paris des environs de 1150 à 1572 et qui s'installèrent à Église Saint-Jacques-du-Haut-Pas, rue Saint-Jacques.
• no 92 : Église Saint-Leu-Saint-Gilles
• nos 110-112-135 : Emplacement de la porte aux Peintres également appelée porte Saint-Denis de l'enceinte de Philippe Auguste, aujourd'hui détruite.
• no 142 (angle de la rue Greneta) : Maison construite en 1732 par Jacques-Richard Cochois pour Claude Aubry. Lui est adossée la fontaine Greneta, refaite en même temps que la maison, mais qui remonte au moins à 1502.
• nos 142-164 no 28 rue Greneta : Ancien hôpital de la Trinité fondé au XIIe siècle sous le nom de hôpital de la Croix-de-la-Reine pour héberger les voyageurs arrivés après la fermeture des portes de l'enceinte de Philippe-Auguste3,4.
• no 146 : Emplacement de la cour des Bleus, ouverte en 1817 au travers de l'hôpital de la Trinité et qui débouchait au no 15 rue de Palestro.
• Angle Est rue Saint-Denis et Nord rue Greneta : Fontaine de la Reine
• Actuel no 151 (ancien 243) : Léon Blum y est né.
• nos 164-176 : Emplacement du cimetière de la Trinité
• nos 224-226 : Maison des Dames de Saint-Chaumont (Couvent des Filles de l'Union chrétienne), établie en 1685 dans un hôtel de Saint-Chaumond dont il ne reste rien mais qui a laissé son nom à la communauté. Les religieuses ont fait construire en 1734-1735 dans leur jardin, par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, petit-fils de Jules Hardouin-Mansart, un logis pour les dames de la bonne société souhaitant se retirer du monde, qui a été conservé (seulement surélevé). Bâtiment de qualité exceptionnelle, décoré par le grand ornemaniste rocaille Nicolas Pineau, il témoigne, par son plan en courbes et contre-courbes, des influences de l'architecte italien Borromini sur l'architecture rocaille parisienne de la première moitié du XVIIIe siècle. C'est le seul témoignage conservé des grands établissements pieux ou charitables construits le long de la rue Saint-Denis. L'entrée se trouvait originellement du côté de la rue Saint-Denis et un jardin s'étendait entre le logis et l'immeuble haussmannien du 131 boulevard de Sébastopol. À l'angle de la rue de Tracy, se trouvait l'église conventuelle, construite en 1782 par Pierre Convers dans le style antique (aujourd'hui détruite).
• no 266 : Emplacement de l'église de la Trinité3.
• Au bout de la rue Saint-Denis, au carrefour avec les grands boulevards, se trouve la porte Saint-Denis.
Consultons ensuite Histoire et dictionnaire de Paris aux entrées :
Pharmacie, pharmacien :
Attestés dans le « livre des métiers » du prévôt Etienne Boileau en 1269, les apothicaires n ‘apparaissent pas dans le livre de la taille de 1292, car ils font partie de la
A l’entrée nom de rue ;
Outre des références isolés, c’est par les rôle de la taille établis entre 1292 et 1313 que l’on connaît les rus de paris, ainsi que par un poème écrit vers 1300 par Guillot « le dit des rues de paris.
Manfred Heid a distingué 9 types de nom de rues au Moyen Age ; en premier viennent les rues qui tirent leur nom d’un particulier ou d’une famille…
D’autres noms évoquent la présence d’un métier, d’on commerce…la plupart de ces dénominations ont disparu avec la mort des métiers ou leur dispersion à travers la cité…enlumineurs , écrivains…Survivent les rues de la Ferronnerie, des Tuileries…
Un quatrième type tire ses dénominations d’un groupe particulier d’habitant (rue des Bernardins, des Prêcheurs..
Certaines rues tirent leur dénomination de quelque particularité établie à demeure à cet endroit…L’installation d’un bac sur la Seine en 1580 entraîne le nom de la rue du Bac…
Un sixième typa a emprunté la dénomination du lieu traversée par la rue ou du lieu ou elle aboutit…
Quelques rus tirent leur nom d’une caractéristique extérieure à la voie elle même ( la rue Pavée…
L’existence d’enseignes de maisons ou de commerces.
Les enseignes étant rares vers 1300, il faut attendre les XVe et XVIe siècles pour que cette catégorie connaisse le succès, atteignant 10% de la nomenclature entre 1450 et 1555…
Certaines rues tirent leur nom de leur mauvaise fréquentation (trace-Putain…
jusqu’à la fin du XVIe, la topographie parisienne est gouvernée par la coutume…
La consultation des ouvrages qui suivent n’a pas été plus fructueuse :
Le Paris du Moyen Age
Construction et transformation d’une capitale, Paris au Moyen Age
Une rubrique y est pourtant consacrée à la rue Saint –Denis : sous Philippe Auguste ; elle est pavée et très commerçante, mais pas de détails sur les échoppes.
Poursuivons avec le Dictionnaire historique des rues de Paris :
Mêmes renseignements que sur wikipédia mais infiniment détaillés :
La rue Saint-Denis a été la voie triomphale suivie par les souverains jusqu’à Notre-Dame lors de leur entrée solennelle dans leur bonne ville de paris, d’où son autre qualificatif de voie Royale ; une entrée solennelle donnait lieu à de très grandes fêtes, demandant plusieurs semaines de préparatifs, qui attiraient dans la capitale une affluence considérable. Des arcs de triomphe étaient érigés le long du parcours, du vin et du lait coulait des fontaines publiques, des mystères étaient joués aux principaux carrefours ; Citons parmi ces entrées solennelles, celles de Philippe de Valois (1328), jean le bon (1350)., Charles V (1360), Charles VI (1380)…
C’est aussi que par la rue Saint-Denis que les reines de France faisaient leur entrée solennelle dans paris, telle Isabeau de Bavière ;;;Elle fut aussi le chemin par lequel les dépouilles mortelles des rois et reines de France étaient conduites de notre dame à la basilique de Saint-Denis pour y être inhumées
Cette rue, souvent élargie, souvent rectifiée ,a été, jusqu’à l’ouverture du Bd de Sébastopol, l’âme et le cœur de paris, du fait du voisinage des halles et de la Prévôté (Châtelet) ; elle fut de tout temps une rue très commerçante et très populeuse… suivent des renseignements sur l’hôpital des pauvres de sainte-opportune, La croix des Gastines, le cimetière des Innocents etc. (10 pages d’explications détaillées sur des églises , des hôtels et maisons disparus ou non.
Terminons en dernier recours par une édition de 1779 du Dictionnaire historique de la ville de paris er de ses environs :
Des renseignements identiques, mais aucune anecdote concernant les échoppes d’épiciers-apothicaires
La spécificité de la rue Saint-Denis semble donc sortie de l’imagination du romancier
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