traduction en arameen
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 18/07/2006 à 21h36
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Question d'origine :
je voudrais connaître le nom de chacun des apôtres en arameen
Réponse du Guichet
anonyme
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 19/07/2006 à 14h51
Vous trouverez à partir de l'article Apôtre de l'encyclopédie libre Wikikto, la liste des apôtres. En cliquant sur chaque nom, vous aurez son nom originel. Par exemple :
- Pierre = Kephas
- Paul = Saül
etc.
Voici également ces précisions proposées par cet article :
Jacques et Jean, fils de Zébédée, sont aussi surnommés par le Christ (cf. Mc 3,17) Boanergès (en grec : "Fils du tonnerre")
Barthélémy est aussi appelé Nathanaël.
Matthieu, appelé aussi Lévi, est surnommé "le publicain" (Mt 10,3)
Simon (le deuxième de ce nom, avec Simon-Pierre) est surnommé "le Zélote" (Mt 10,4 ; Mc 3,18).
Jude est appelé aussi Thaddée.
Judas, l'apôtre qui trahira Jésus, est régulièrement appelé Judas Iscariote.
Par ailleurs, l'article consacré à l'araméen précise que :
L'araméen est une langue sémitique proche de l'hébreu. C'est la langue de tous les jours en Terre Sainte à l'époque de Jésus - dont c'est probablement la langue maternelle. L'hébreu reste la langue formelle, liturgique notamment, et le grec est la langue véhiculaire du commerce et de la culture.
Certains passages de l'Ancien Testament (parties du Livre de Daniel) sont écrits non en hébreu, mais non en araméen (on dit aussi parfois "chaldéen").
L'araméen est une langue liturgique, utilisée par l'Eglise syro-chaldéenne (catholique et orthodoxe). C'est aussi la langue de tous les jours dans certains villages et communautés chrétiens, en Syrie notamment.
L'araméen dans le Nouveau Testament
Tout le Nouveau Testament a été écrit en grec, mais on perçoit une influence de l'araméen dans des tournures ou des modes d'expression qui reflètent la pensée sémitique et la langue quotidienne en Palestine romaine. Cela est normal, p.ex. dans les dialogues rapporté dans les Evangiles, et dont l'"original" était le plus souvent en araméen (p.ex. "ne pas changer un iota" devait être "ne pas changer un yod", la lettre y qui est la plus petite dans l'alphabet hébreu et araméen). L'influence de la Septante imprime aussi une certaine coloration araméenne et hébraïque sur le Nouveau Testament, même chez des auteurs de langue maternelle grecque.
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